Goethe, Byron,
Victor Hugo ont parlé de cet Orient des mille et une nuits, de ce monde féérique et fascinant de l'Egypte, de la Perse. Chaque poème de ce recueil invite le lecteur à voyager. L'Egypte rencontre Babel et Sodome. Les Têtes du Sérail répondent à l'enlèvement au Sérail de
Wolfgang Amadeus Mozart.
Victor Hugo a su par ses mots dépeindre les spécificités géographiques, humaines de chaque lieu visité. Ainsi les Djinns relate le passage des djinns funèbres, fils du trépas.
Le poème "l'Enfant" raconte la destruction de Chio par les turcs. Si le lecteur est curieux il peut comparer ce poème avec le tableau Massacre de Chio peint par
Eugène Delacroix.
Tout comme
Charles Baudelaire ou
Arthur Rimbaud avec Ophélia,
Victor Hugo a su mettre en vers ce que les peintres ont réalisé en tableau.
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