Je n'ai pas fini ce livre que j'ai arrêté à la 177e page (/251).
Une première partie plutôt sympathique et prenante sur la perte d'un animal de compagnie. Ensuite je n'accroche pas vraiment au récit, une façon de penser qui commence à dater malgré qu'on ressente bien le lien et l'amour que Jean-Pierre Hutin et son chien Mabrouk entretenaient.
Cela devenait une lecture sans trop d'intérêt pour moi, je passe à une lecture suivante !
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