"Les hommes,"espèce supérieure", doivent se rendre compte qu'ils n'ont pas un droit de vie et de mort sur les animaux, mais au contraire le devoir de protéger, de gérer le capital aussi bien animal que végétal de leur planète..."
La mort d’un animal nous entraîne à pleurer sans retenue, je veux dire que notre douleur est une douleur physique ; elle est simple, elle est primaire, à l’image des rapports que nous entretenons avec lui.