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Critique de cannibalector


Suisse, Genève, banquier, riche.
Pléonasmes: oui, peut être sauf pour les sdf du coin, qui, comme partout crèvent la gueule ouverte.
Notre banquier s'appelle Paul, c'est plutôt un type bien qui bosse pour sa famille? Pour lui? Mais il bosse, il gagne très bien sa vie, fait beaucoup de sport , mais quel temps lui reste il pour sa femme et ses gosses? le couple végète, sans bruit, sans fureur mais sans passion.La femme s'ennuie, une fausse couche aggrave sa dépression , ainsi, en surfant, lorsqu'elle voit une promo pour une semaine de rêve dans une ile paradisiaque inconnue, elle fonce.La fille ainée a 14 ans, vous connaissez cette âge où le corps devient adulte et où les ferromones remplacent les neurones, le cadet, lui, est un gringalet, bien intello.

Toute la famille part donc à " nomad island" pendant 7 jours: un jour, un chapitre.
Leur voyage ne sera pas un agréable souvenir mais une transformation totale de leur être..... S'ils en reviennent

Fable cynique, fantastique, cruelle où l'auteur nous pose subtilement une question: qu'est ce qui nous définit en tant que personne: notre argent, notre pouvoir, nos désirs?

Ma note moyenne s'explique par le coté surnaturel , voire fantaisiste du récit qui dessert le suspens.
Ce roman est plus une satire sociale qu'un roman noir mais il nous fait réfléchir, et c'est déjà beaucoup

Mais ce n'est que mon humble avis
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