En inconditionnelle d'
Arnaldur Indridason, je n'ai pas été déçue par son dernier opus «
le lagon noir ».
Erlendur est un personnage à part dans les polars. du moins, à mon sens. Humain, posé, profondément empathique, on s'attache à lui immédiatement. Les héros de polar sont souvent noirs, abrupts ou dotés d'un immense ego, mais on les aime comme ça. Pas lui. de plus l'auteur, en parfait historien, nous plonge dans son Islande des années 1970. L'intrigue est efficace... notre héros mène deux enquêtes dont une extrêmement dangereuse . le tout, servi par une écriture fluide. Une découverte plus pointue de sa chef, Marion. En somme, on l'adore toujours autant !
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