AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,71

sur 777 notes
5
21 avis
4
66 avis
3
36 avis
2
10 avis
1
0 avis
Reykjavik, 1979. Un cadavre a été découvert sur la péninsule de Reykjanes, à côté de la centrale géothermique de Svartsengi, par une jeune femme qui, souffrant de psoriasis, se baignait dans le lagon. Erlendur Sveinson, accompagné de son supérieur, Marion Briem, se rend aussitôt sur les lieux. D'après les premières constatations du légiste, il s'agirait d'un homme d'une trentaine d'années dont la mort, de par ses os complètement brisés et son visage en bouillie, serait due à une chute vertigineuse. Une jeune femme, inquiète de la disparition de son frère, appelle la police et reconnait le corps de celui-ci. Il s'agit donc d'un Islandais qui travaillait à la base américaine de l'aéroport de Keflavik.
En plus de cette enquête, Erlendur, passionné par les disparitions inexpliquées ou étranges, se replonge dans un dossier vieux de 25 ans. Une jeune fille a mystérieusement disparu sur le chemin de l'école...

Quel plaisir de retrouver ce cher Erlendur ! Dans ce volet, Arnaldur Indriðason nous plonge au début des années 80. de par la présence sur le sol islandais des troupes américaines, la tension est palpable. Erlendur devra faire face au silence de l'armée. L'auteur décrit avec précision cette époque où son pays subissait le poids de l'Amérique et la négligence de l'Europe. Un pays qui, dans l'après-guerre, manquait de tout. L'on retrouve ici un Erlendur au début de sa carrière dans la Criminelle, sous la responsabilité de Marion Briem. Un personnage solitaire déjà torturé par les disparitions inexpliquées. L'auteur mène de front deux enquêtes, à 25 ans d'intervalle, un moyen subtil de nous donner quelques leçons d'histoire. Un polar efficace et un brin nostalgique...
Commenter  J’apprécie          680
Je retrouve Erlendur avec plaisir, alors qu'il vient juste d'intégrer la brigade criminelle et se trouve sous les ordres de Marion. On suit les deux policiers pour une double enquête.

Tout d'abord, une enquête actuelle dans laquelle on retrouve, dans le lagon jusque-là paradisiaque, le corps d'un homme, sans papiers d'identité, qui a visiblement été assassiné, vues les multiples contusions. Quelques heures plus tard, une jeune femme, qui a entendu parler de cette découverte, vient signaler la disparition de son frère et vérifier si le corps est bien le sien. Ceci nous entraîne dans une base américaine, où il effectuait des réparations sur des avions autour desquels plane le secret le plus glauque. de rebondissement en rebondissement, on va se trouver dans une affaire d'espionnage et notre duo aura beaucoup de mal à pouvoir avancer dans son enquête.

La deuxième enquête est en fait un « Cold case » (affaire classée est beaucoup moins sympathique comme expression !) avec une jeune fille qui a disparu trente ans auparavant. C'est le thème de prédilection d'Erlendur, déjà passionné par les disparitions inexpliquées. C'est l'enquête que j'ai préférée car on retrouve, la recherche méticuleuse du moindre fait nouveau, l'interrogatoire des personnes qui gravitaient autour de la jeune fille, et l'opiniâtreté de l'inspecteur. On retrouve ainsi des années sympathiques, où les jeunes découvraient les variétés américaines, les jeans, mais les jeunes gens, notamment les filles étaient encore soumis à l'autorité de leurs parents pour les sorties.

Par contre, j'ai été moins intéressée par l'enquête principale; certes, on apprend des choses de l'histoire de l'Islande, l'occupation américaine, le mépris des militaires pour ceux qu'ils appellent les « autochtones », pourquoi pas des être inférieurs pendant qu'on y est… ainsi que sur les trafics en tous genres, les expérimentations militaires, éventuellement des armes nucléaires cachées…

On découvre la manière dont le duo Marion-Erlendur se met en place, ce qui se passe dans leurs vies personnelles, et surtout Arnaldur Indridason met en scène une policière américaine, noire(ce qui était rare à l'époque!) qui veut bien les aider dans leur enquête

Le bémol vient du fait que je ne suis pas friande d'espionnage donc je suis restée un peu sur ma faim ! est-ce que je commence à saturer avec la technique Indridason ? à moins que la lenteur du récit et du policier, me perturbe après la lecture de « Nuit » : il se passe plus de choses en trente pages de Nimier, qu'en trois cents pages dans ce roman… un peu comme si on passait d'un épisode de « Derrick » à un épisode des « Experts » ….

Même ma critique me paraît capillotractée! Une pause semble s'imposer…. En fait, et ceci m'arrive très souvent avec les polars, qui ne sont pas mon genre littéraire préféré, mais plutôt un exutoire, au bout de quelques livres d'un auteur, je me lasse et j'abandonne: j'ai eu ma période Agatha Christie, puis Mary Higgins-Clark, que j'ai abandonnée au profit de Patricia Cornwell, qui a fini par m'excéder par sa violence et sa parano, puis Elizabeth George
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
Commenter  J’apprécie          624
Si Erlendur pratique l'art de dévier constamment du sujet, Indridason lui, persiste et signe encore une fois dans les romans qui exploitent quelques pans méconnus de l'histoire islandaise.

Erlendur est constamment sur le fil, Indridason profite pour exploiter encore plus son ambigüité. Sa quête de la vérité en mode cold case fait ressortir son obsession pour les disparitions non résolues.

Avec le lagon noir, sans rien abjurer de sa noirceur, on retrouve le minimalisme efficace qu'on connaît et une écriture plus forte et incisive dévoilant un peu plus l'âme islandaise qui continue de fasciner les lecteurs.


Commenter  J’apprécie          530
Depuis que l'auteur islandais Arnaldur Indridason a stoppé sa série sur l'enquêteur Erlendur Sveinsson, et qu'il s'est mis à écrire les préquels, la magie n'opère plus autant. En tous cas, pour moi. le duel m'a laissé franchement indifférent, Les nuits à Reykjavik m'a bien plu même s'il n'était pas à la hauteur des autres, et enfin le lagon noir m'a laissé ambivalent. Ce roman se passe quelques mois après le précédent. Erlendur Sveinsson fait équipe avec la fameuse Marion Briem pour découvrir l'identité d'un homme retrouvé mort dans un lagon puis, ensuite, pour trouver la cause de sa mort. Parralèllement à cela, il enquête sur la disparition d'une jeune fille qui date d'une dizaine d'années. Les inconditionnels savent que c'est un sujet qui lui tient beaucoup à coeur.

Donc, le lagon noir a tout pour plaire. le retour d'Erlendur, un enquêteur vedette (malgré qu'il soit à ses débuts dans la police), deux crimes plutôt intéressants à résoudre dont on suppose qu'ils se recouperont éventuellement. Un bon rythme, un mélange équilibré de mystère et d'action. Même un enjeu social : la présence des Américains à la base de Keflavik, qui déplait à beaucoup d'Islandais. Tensions sociales en perspectives, frictions avec les autorités militaires américaines ? On risque même de basculer dans un thriller ou roman d'espionnage ! Et je suis content de retrouver Reykjavik, l'Islande.

Pourtant, même si tout est là (il me semble) et si j'ai plutôt bien aimé, je ne retrouve pas ce petit quelque chose qui me faisait adorer les «premières» aventures d'Erlendur. Suis-je le seul? Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus et je trouve cela enrageant. À moins que ce ne soit mes souvenirs qui me jouent des tours et que je ne m'imagine les premiers tomes meilleurs alors qu'en réalité ils se valent tous. Ou peut-être parce que, moi, je veux aller de l'avant et que je ne suis intéressé qu'à savoir ce qui arrive à Erlendur à la fin du roman Hypothermie. N'empêche, je ne veux pas avoir l'air trop négatif, j'ai passé de bons moments à lire ce roman.
Commenter  J’apprécie          433
Islande, un cadavre est retrouvé dans un lagon, un lieu très particulier qui est devenu le « Blue Lagoon », un endroit magnifique, un incontournable pour les touristes qui visitent le pays.

Mais outre ces paysages qui me rappellent d'excellents souvenirs de voyage, c'est un genre de polar qui me plait beaucoup, car en plus d'une intrigue policière, on en apprend un peu plus sur le pays.

On y sent le travail de l'historien. le crime a été commis en 1979 et l'auteur décrit la vie quotidienne à cette époque, mais à travers le prétexte d'une enquête sur une disparition qui a eu lieu 25 ans plus tôt, il raconte aussi l'Islande d'après-guerre, un pays exsangue où on manque de tout, mais où on trouve une base militaire américaine où on trouve de tout.

On y explique donc un dilemme persistant de la société islandaise qui apprécie beaucoup les devises et les emplois créés par la base militaire, mais qui est mal à l'aise avec l'idée qu'une puissance étrangère occupe une partie de son territoire. (Le sujet est d'autant plus intéressant que la base aérienne américaine fermée depuis une dizaine d'années vient justement d'être rouverte au début de 2016 !)

Pour en revenir au polar, pour le grand plaisir des fans du policier Islandais fétiche d'Arnaldur, ce roman se situe au début de la carrière d'Erlendur, alors qu'il vient de divorcer et de commencer sa carrière aux enquêtes criminelles. Il travaille avec Marion et il est aux prises avec ses mêmes obsessions pour les personnes disparues qu'on retrouve tout au long de la série.

Un bon polar à déguster à défaut de pouvoir profiter des eaux chaudes et douces du « Blue Lagoon »
Commenter  J’apprécie          430
J'ai pris grand plaisir à retrouver Erlendur du temps de sa jeunesse, quand jeune inspecteur il venait d'entrer à la brigade d'enquêtes criminelles.

L'action se situe en 1979, en pleine période de guerre froide, sur la base américaine de l'aéroport de Keflavik. Inutile de dire que les militaires américains sont peu enclins à aider Erlendur et sa collègue Marion lorsqu'ils tapent à la porte pour enquêter sur le meurtre d'un homme, islandais d'origine, mais travaillant dans un hangar pour le compte des autorités américaines. Aussi pour apaiser les tensions (certains Islandais ne supportent pas la présence étrangère sur leur sol, l'Islande ayant fait le choix de n'avoir aucune armée pour conserver sa neutralité en cas de conflit), les inspecteurs islandais vont se voir adjoindre une jeune officier de la base, Caroline.
Dans le même temps, Erlendur, tourné vers le passé car enfoui dans des souvenirs douloureux, va reprendre l'enquête sur une jeune fille disparue voilà plus de vingt-cinq ans...


C'est un polar bien sûr mais c'est aussi la vision de l'auteur sur son pays. le poids de l'insularité y est nettement décrit : petit pays ignoré des uns et écrasé par les autres. La présence militaire américaine y est, selon les intérêts économiques ou politiques, acceptée, tolérée ou rejetée. Les us et coutumes islandais apportent également un intérêt ethnologique très prégnant. Et le déroulé de l'histoire permet de nous approcher au plus près de la psyché de l'inspecteur Erlendur et de mieux comprendre son personnage mélancolique et taiseux. Un savoureux mélange de thèmes qui rend la lecture addictive.

Et pour l'anecdote, je vous propose de déguster (pour moi, ce sera avec les yeux uniquement) un plat bien de là-bas :
« L'heure du dîner approchait. le Skulakaffi proposait des plats typiquement islandais... le plat du jour était de la raie faisandée à la graisse de mouton. Marion craignait que l'odeur du poisson, un mélange de moisissure et d'urine, n'imprègne ses vêtements... »
Commenter  J’apprécie          403
Encore un polar de bonne facture que le Lagon Noir. Arnaldur Indridasson nous entraîne dans une enquête qui se déroule sur la base militaire américaine de Reykjavik.

Le cadavre d'un homme a été retrouvé dans un lagon, pas très loin de la base américaine. Les soupçons vont vite se diriger vers le hangar 885. Que s'est-il passé ? Pourquoi cet Islandais a-t-il été assassiné ? En savait-il trop ? Il y a anguille sous roche !

Une jeune officier noire acceptera, à l'insu de ses chefs hiérarchiques, d'aider Arnaldur et Marion Briem à dérouler l'écheveau.

En parallèle, Arnaldur réouvrira une vieille enquête qui le taraude. Il veut découvrir ce qui est arrivé à Dagbjört, disparue il y a de cela 40 ans plus tôt, avant que tous les témoins aient disparus.

A travers ce roman, on découvrira également l'atmosphère politique de cette période, début des années 80, et le malaise ressenti par les Islandais d'avoir sur leur territoire une base militaire américaine.

Un bon moment de lecture qui vous plaira, je n'en doute pas un instant.
Commenter  J’apprécie          350
L'inspecteur Erlendur fait désormais partie de mes connaissances littéraires islandaises. J'ai plaisir à le retrouver au fil des aventures que lui concocte Arnaldur Indridason.

Dans « le lagon noir », le jeune policier se frotte à deux enquêtes. L'une, officielle, sur la mort suspecte d'un Islandais survenue dans un hangar de la base militaire US. L'autre, officieuse, dictée par ses propres traumatismes d'enfance, sur la disparition inexpliquée d'une jeune femme modeste, vingt-cinq ans auparavant, au lendemain d'une petite fête avec ses amies de l'Ecole ménagère.

Cette double enquête policière est l'occasion de découvrir la réalité des rapports familiaux et sociaux, des trafics clandestins pour se procurer des produits rares ou illicites, des tensions internationales dues à la guerre froide, des antagonismes culturels ou ethniques.

A la manière d'un peintre enchaînant indéfiniment les variations d'un portrait à partir d'une même esquisse, l'auteur affine par petites touches la personnalité de ce flic mélancolique et dépressif.

Il n'y a pas de violence dans les romans de l'auteur.
L'intrigue ou plutôt les intrigues se dévoilent lentement par petites touches précises ce qui est à mes yeux leur atout majeur.

Commenter  J’apprécie          280

J'ai retrouvé avec impatience et grand plaisir l'inspecteur cher à mon coeur, Erlendur...Voilà un opus très réussi !

Il fait suite aux " Nuits de Reykjavik",moins prenant, qui nous replongeait dans le passé de l'inspecteur.Choix judicieux et presque obligatoire.En effet, le fil conducteur de tous les livres de la série est rompu depuis "Etranges rivages" car la quête personnelle d'Erlendur concernant son frère disparu est achevée.Et comme il ne semble pas - pour l'instant- vouloir réapparaitre au sein de la police, difficile d'envisager un avenir !

Donc, retour en arrière.Erlendur n'est plus à la circulation.Ses qualités lui ont fait intégrer l'équipe de Marion, sa chef, à la Brigade Criminelle.Il a maintenant 33 ans et vient de divorcer.

Deux enquêtes sont présentées , en parallèle.L'une, contemporaine de cette époque, concerne la découverte d'un corps dans un lagon, près d'une centrale géo-thermique: celui de Kristvin, qui travaillait comme mécanicien à l'aéroport de Keflavick.Très vite, on se rend compte qu'un coup lui a été porté et qu'il est tombé d'une hauteur vertigineuse.

Cette enquête se place dans un contexte socio-politique intéressant et complexe: celui de la guerre froide.Nous sommes en 1979 ; les Américains ont une base militaire aérienne dans l'aéroport.Et la mort semble liée à cet endroit.Un membre de la police américaine, Caroline, une jeune noire, va aider Erlendur et Marion dans cette affaire, entre jalousie et mystérieux vols entre l'Islande et le Groenland.

L'autre enquête, menée à titre personnel par Erlendur, se rapporte à la disparition poignante et jamais élucidée d'une jeune fille de 19 ans, Dagbjört, quarante ans auparavant.

le danger semble venir des Américains, très réticents et inquiétants ,dans la première affaire, mais c'est la deuxième qui se révèlera la plus risquée.

le livre est riche à plusieurs points de vue.Outre l'aspect politique, il montre les problèmes sociaux de l'époque: les populations déplacées par exemple au Groenland pour les besoins militaires, le ghetto américain confronté à la méfiance des Islandais mais aussi le racisme primaire des autres américains à l'égard des Noirs, ici Caroline.

Et surtout, à travers ce livre, plus que dans le précédent, se dessine finement la personnalité d'Erlendur, particulièrement par le regard que porte sur lui d'autres personnages: son aspect renfrogné, mélancolique déplait souvent à ses collègues mais Marion devine en lui des failles et s'intéresse à lui.Elle l'apprécie, voyant en lui un excellent policier, tenace et intuitif, et il l'intrigue.Un autre personnage a pressenti ce qu'il était, la tante de la jeune fille disparue.Elle lui dit: " Vous êtes tellement sérieux.Un si jeune homme.Je me demande pourquoi...? Qu'est-ce qui vous pousse à faire ça ?
Erlendur garda le silence.Pourquoi devait-il rouvrir d'anciennes blessures et s'emplir le coeur de douleur et de deuil ?
- C'est à cause de votre regard triste, poursuivit-elle."

Un regard triste qui émeut le lecteur, de plus en plus attaché à cet être si particulier...





Commenter  J’apprécie          262
Il y a quelques années, j'ai découvert Indridason en lisant Betty. Je n'avais pas aimé. Plusieurs personnes m'ont dit que ce n'était pas le meilleur roman de l'auteur que j'avais choisi, j'ai donc réitéré l'expérience en piochant cette fois dans dans la série du célèbre flic.
Me voici donc avec mon 1er Erlendur, qui est aussi le 14e et dernier de la série, le 12e sur 13 traduits, et le 3e dans la chronologie de sa vie.
Je suis donc bien placée pour vous dire que ça peut se lire indépendamment sans avoir l'impression d'être larguée.
En revanche, pas de bol pour moi, je suis tombée sur un opus où l'écrivain laisse planer un doute sur le genre féminin/masculin du personnage Marion. Pas de bol parce que ça m'a rappelé un mauvais souvenir : le procédé utilisé dans Betty qui m'avait laissée complètement indifférente contrairement à beaucoup de lecteurs qui s'étaient sentis génialement bernés.
Voilà, j'ai craché tout mon venin sur ce bouquin, c'est-à-dire pas grand chose. Parce que ça se lit agréablement. La double enquête menée ici n'a rien de transcendantal mais elle fonctionne bien. le gros plus c'est qu'on découvre un bout d'Islande géographique, historique, gastronomique et sociale.
Je pense sincèrement que j'aurais pu être une inconditionnelle d'Erlendur si j'avais pris le train en gare de départ il y a quatorze ans. Parce qu'ici, comme je vous l'ai déjà dit, c'est le troisième chronologiquement, Erlendur est donc assez jeune, mais on sent qu'il va être un gentil dépressif torturé, ce qui a pour coutume de me rendre le personnage attachant.
C'est une pioche qui m'aura révélé un rendez-vous manqué. Toutefois, sans le sentiment de regret que peuvent engendrer ces mots puisque je sais que j'ai la possibilité de rattraper ce rendez-vous si l'envie m'en prend un jour.
Commenter  J’apprécie          250




Lecteurs (2292) Voir plus



Quiz Voir plus

Arnaldur Indridason

Un soir glacial de janvier, un petit garçon asiatique de 12 ans qui rentrait de son école est assassiné au pied d’un immeuble de la banlieue de Reykjavik.

La Cité des jarres (2005)
La Femme en vert (2006)
La Voix (2007)
L'Homme du Lac (2008)
Hiver arctique (2009)
Hypothermie (2010)
La Rivière Noire (2011)
Betty (2011)
La Muraille de lave (2012)
Etrange Rivage (2013)

10 questions
271 lecteurs ont répondu
Thème : Arnaldur IndriðasonCréer un quiz sur ce livre

{* *}