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Critique de Amindara


Et je poursuis ma lecture de la vie de Laura Ingalls Wilder avec ce tome 7.

Laura a maintenant 15 ans et elle s'est vue remettre, à la toute fin du tome précédent, un certificat lui permettant d'enseigner ainsi qu'une offre d'emploi pour 2 mois. Nous la voyons donc faire ses début en tant qu'institutrice, débuts très difficiles, d'autant qu'elle est trop loin de la maison pour rentrer avant la fin de son contrat. Et cela la rend malheureuse, parce que, vraiment, elle n'aime pas l'endroit où elle est logée (la maîtresse de maison est une femme vraiment très hostile). Mais c'est sans compter sur Almanzo qui, spontanément, va faire l'aller et retour toutes les semaines pour permettre à Laura de passer le week-end auprès des siens. Là encore, c'est assez marrant de voir que si, nous, nous avons parfaitement compris ce qu'il se passait dans la tête d'Almanzo, ce n'est pas encore le cas de Laura qui ne comprend pas qu'il se donne tout ce mal et qui lui en est reconnaissante cependant. Mais bien qu'elle lui ait dit qu'il n'avait rien à attendre en retour et qu'il n'était pas obligé de revenir la chercher, il est toujours là, fidèle au poste. Et là, vraiment, on ne peut que l'admirer cet Almanzo.

Et puis, Laura rentre à la maison et Almanzo trouve une nouvelle excuse pour passer du temps avec elle chaque semaine. Et la vie se poursuit, rythmée par les balades en traîneau (pendant l'hiver) ou en boghei (quand il n'y a plus de neige). Et, petit à petit, Laura commence à vraiment beaucoup les apprécier, ces balades. Elle se met même à les attendre, semaine après semaine. Et ce cher Almanzo commence à beaucoup occuper ses pensées.

Finalement, dans ce tome, il n'y a que cela : des balades avec Almanzo, entrecoupées des expériences d'institutrice de Laura. Nous nous attardons sur les sentiments de la jeune femme, tant envers son futur mari qu'envers ce métier qu'elle ne souhaitait pas exercer. Nous les voyons évoluer.

Et puis, nous découvrons davantage Almanzo, son bon sens, sa gentillesse, sa générosité. Nous voyons à quel point c'est un homme bien. Et, encore une fois, je me suis amusée de la bienveillance de Charles à l'égard de la relation qui se nouait sous ses yeux. Tandis que Caroline, finalement assez éloignée de la femme que nous voyons dans la série télévisée, semble ne pas apprécier la situation tant que cela.

Allez, zou, je file lire le tome 8 ! (Et il sera vite lu, vu l'épaisseur)
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