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Critique de Alfaric
Dans ce tome 3 de cette « Star edition » aux nouvelles illustrations dessinées par l'auteur, enfin un match même s'il est d'entraînement. Sakuragi le génie est en grand forme, et l'entraîneur de Ryônan Moichi Taoka qui a déjà des comptes à régler avec l'entraîneur de Shohoku Coah Anzai qui lui a piqué 3 des joueurs qu'il avait dans le viseur s'apprête à passer la pire journée de sa vie… mdr
Sakuragi pique une crise dans les vestiaires quand il a appris qu'il ne débuterait pas le match, mais Coah Anzai qui est devenu éducateur après avoir été entraîneur à cause d'un drame personnel le calme immédiatement : il est l'arme secrète de Shohoku, et il rentrera en jeu au moment opportun… C'est donc du banc de touche qu'il fout un bordel monstre entre vantardises, blagues potaches, provocations, humiliations et accidents volontaires ou involontaires : Moichi Taoka pète les plombs ! Sur le terrain Akagi et Uozumi, vieux rivaux qui ont le même but et le même parcours sans savoir que l'un a fait à son père une promesse qui pourrait bien l'obliger à quitter définitivement le monde du basket sont absorbés par leur rivalité mutuelle, et Akira Sendô qui a le même jeu que Magic Johnson s'amuse comme un petit fou avec Kaede Rukawa qui a le même jeu que Michael Jordan. Anticonformiste il s'entend comme larrons en foire avec Rukawa le renard et Sakuragi le génie qu'il va même jusqu'à provoquer sur le banc de touche. Pour le rouquin racaille il faut absolument rentrer en jeu pour affronter Sendô et rabattre son caquet à Rukawa, et il enrage d'autant plus que Rukawa passe son temps à le bolosser, Gorille à le fracasser et le reste de l'équipe de Shohoku a l'empêcher de tout faire dégénérer… Quand Gorille doit sortir, Coach Anzai n'a d'autre choix que de faire rentrer « l'arme secrète de Shokoku » ! Sauf que Sakuragi le roi de l'embrouille est aussi le roi du stress, donc après toutes ses vantardises il reste paralysé par le trac avant que Rukawa ne vienne lui mettre un bon coup de pied au cul pour le ramener à la réalité. le match commence vraiment pour notre antihéros racaille et après avoir sorti sa fameuse technique défensive du mur, il surprend tout le monde en contrant la stratégie de Ryônan en refusant de passer le ballon à Rukawa… Alors que le match gagne un intensité, l'entraîneur Moichi Taoka commence à devenir fou à lier ! lol
Le style du mangaka est en pleine évolution (mais pas encore les coupes de feu so eighties) : c'est fluide et c'est dynamique car on passe d'une narration sur 1 page ou sur 2 pages, ou du découpage rectiligne au découpage oblique en fonction des besoins de l'action et de l'émotion (bon, ça manque de profondeur de champ, mais vu que tout se passe dans un gymnase on peut pas lui en tenir rigueur). Et de l'action et de l'émotion il n'y a que ça : franchement je me suis régalé de bout en bout pendant 270 pages, et les grands moments ne font que commencer… Une série qui n'a pas volé son succès et sa réputation !
Sakuragi pique une crise dans les vestiaires quand il a appris qu'il ne débuterait pas le match, mais Coah Anzai qui est devenu éducateur après avoir été entraîneur à cause d'un drame personnel le calme immédiatement : il est l'arme secrète de Shohoku, et il rentrera en jeu au moment opportun… C'est donc du banc de touche qu'il fout un bordel monstre entre vantardises, blagues potaches, provocations, humiliations et accidents volontaires ou involontaires : Moichi Taoka pète les plombs ! Sur le terrain Akagi et Uozumi, vieux rivaux qui ont le même but et le même parcours sans savoir que l'un a fait à son père une promesse qui pourrait bien l'obliger à quitter définitivement le monde du basket sont absorbés par leur rivalité mutuelle, et Akira Sendô qui a le même jeu que Magic Johnson s'amuse comme un petit fou avec Kaede Rukawa qui a le même jeu que Michael Jordan. Anticonformiste il s'entend comme larrons en foire avec Rukawa le renard et Sakuragi le génie qu'il va même jusqu'à provoquer sur le banc de touche. Pour le rouquin racaille il faut absolument rentrer en jeu pour affronter Sendô et rabattre son caquet à Rukawa, et il enrage d'autant plus que Rukawa passe son temps à le bolosser, Gorille à le fracasser et le reste de l'équipe de Shohoku a l'empêcher de tout faire dégénérer… Quand Gorille doit sortir, Coach Anzai n'a d'autre choix que de faire rentrer « l'arme secrète de Shokoku » ! Sauf que Sakuragi le roi de l'embrouille est aussi le roi du stress, donc après toutes ses vantardises il reste paralysé par le trac avant que Rukawa ne vienne lui mettre un bon coup de pied au cul pour le ramener à la réalité. le match commence vraiment pour notre antihéros racaille et après avoir sorti sa fameuse technique défensive du mur, il surprend tout le monde en contrant la stratégie de Ryônan en refusant de passer le ballon à Rukawa… Alors que le match gagne un intensité, l'entraîneur Moichi Taoka commence à devenir fou à lier ! lol
Le style du mangaka est en pleine évolution (mais pas encore les coupes de feu so eighties) : c'est fluide et c'est dynamique car on passe d'une narration sur 1 page ou sur 2 pages, ou du découpage rectiligne au découpage oblique en fonction des besoins de l'action et de l'émotion (bon, ça manque de profondeur de champ, mais vu que tout se passe dans un gymnase on peut pas lui en tenir rigueur). Et de l'action et de l'émotion il n'y a que ça : franchement je me suis régalé de bout en bout pendant 270 pages, et les grands moments ne font que commencer… Une série qui n'a pas volé son succès et sa réputation !
