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Critique de Toshokan
Une nouvelle série de Larissa Ione et des Vampires c'est clair je fonce les yeux fermés. Alors ici encore une fois l'auteure nous démontre sa capacité à créer un univers tangible et sans failles. Son imagination est vraiment débordante. J'ai beaucoup aimé l'inversion au niveau du chasseur et du chassé. À savoir que les vampires sont réduits en esclavage et exploité. Par certains côtés ça m'a fait pensé a résident Evil avec cette société Daedalus qui n'a rien à envier à Umbrella. Riker est un homme acéré tel une lame et qui se complaît dans le passé alors qu'il paraît justement avoir avancé. À son opposé nous avons Nicole qui a toutes les raisons de se complaire aussi dans le passé mais qui va évoluer. Ces deux là font la paire. Par contre leur alchimie est en deçà de ce que nous avons pu lire avec les cavaliers de l'apocalypse. Je pense que comme il s'agit d'un premier tome, l'introduction de l'intrigue et la mise en place du monde ont un peu altéré la romance. Cependant l'action comme à l'accoutumé est bien présente. En résumé une lecture plaisante prémice d'un second tome dont j'attend beaucoup mais je n'en dis pas plus ;)
