Deux petits vieux, au terme de leur existence, donnent une grande réception...les invités sont nombreux: ce sont des chaises, auxquelles les deux vieillards prêtent vie, parole et pensée...
Les chaises sont une absence-présence, elles obstruent littéralement l'espace scénique, matérialisent la solitude des deux vieillards et.stimulent ce qui en eux vit toujours, le langage et l'imagination.
Inquiétant, cauchemardesque? Non: plutôt drôle, souvent tendre, poétique et déjanté...
On aimerait le voir plus souvent porté sur la scène...
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