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Critique de HORUSFONCK


Prescott, flic de New-york en congé d'après-balle dans la peau, va goûter la tranquillité du bord de mer dans l' île de Joseph's Vineyard...
Comme le héro de "Un homme est passé" de Michael Niall, il arrive par le train.
Prescott, qui pressent un morne ennui, va devoir affronter un assassin particulièrement cruel, retors et diabolique. Il assiste, en cela, le shériff Benson.
Sur l'air de Yankee Doodle, petit air sifflé de terreur, les meurtres surviennent.
Si la trame de Concerto pour l'étrangleur est assez classique, William Irish déploie une atmosphère d'angoisse et de peur extrêmement prégnante.
S'y rajoute, aussi, un thème récurrent du coupable tout trouvé dans une collectivité envahie par la peur et la colère.
William irish, en grand maître, creuse dans le terreau américain en explorant avec Prescott une série de meurtres au mobile opaque.
Un livre impressionnant et captivant, donc, dans la lignée de J'ai épousé une ombre, la mariée était en noir et autres chef d'oeuvre d' Irish.
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