J'ai du lire une dizaine de romans de
John Irving et je dois dire que je me suis forcé à finir celui-ci.
Si j'ai bien souvent retrouvé le conteur captivant dans ce livre, il m'a semblé que l'accumulation des voyages, descriptions d'hôtels, dessins de tatoueurs tenait plus du procédé que du roman d'aventures.
Long, trop long, surtout que l'épilogue donne l'impression d'un soufflé qui retombe !
Pour ceux que ça intéresse, voici la fin du roman (la toccata de Boëllmann), mais sans les fausses notes :
https://www.youtube.com/watch?v=Gu1lUMhr12E
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