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Critique de Ashallayne
Je ne connaissais pas du tout l'univers de cette BD, typée JDR (je n'ai pas lu la série des Elfes, ni celle des nains).
Mais j'ai envie d'en voir davantage, de découvrir ces peuples et leurs interactions, leurs coutumes et surtout j'ai envie de comprendre comment on en est arrivé là pour ce premier tome de la série des Orcs & Gobelins.
Parce que oui, je suis un peu paumée. J'ai compris qu'il y avait une guerre, qu'une grande vilaine pas très gentille avait pris le pouvoir grâce à une armée de zombies (pardon, de goules) et que le héros essaie de sauver sa peau. Ça ne m'a pas empêchée de suivre Turuk dans cette histoire, d'autant plus que lui-même, ayant perdu la mémoire (j'ai comme une impression de déjà-vu), ne sait pas trop ce qu'il lui arrive. J'ai juste été gênée par le sentiment qu'il me manquait cruellement quelque chose pour apprécier à sa juste valeur cette BD.
En revanche, ce qui m'a vraiment posé problème, c'est le langage de Turuk. Il alterne entre un langage grossier et familier ("chiure", "foutrement", "que dalle") et un langage plutôt soutenu, poétique et vieillot ("avoir des atomes crochus", "souffrance vengeresse"). La lecture a été quelque peu laborieuse pour ma part.
J'ai aussi tiqué sur un détail (vous me reprocherez peut-être de me prendre la tête, mais je n'aime pas les incohérences).
Je ne comprends pas pourquoi les orcs se trouvent moches entre eux. Il me paraît logique que chaque peuple (on peut même parler ici d'espèce) ait ses propres canons de beauté (bien que j'en ai par-dessus la tête des histoires avec des personnages beaux comme des dieux, mais ça c'est une autre histoire). J'imagine que des orcs n'ont pas le même idéal de beauté que des elfes, vu que leurs espèces n'ont pas grand-chose en commun.
Pour résumer, je n'ai pas eu de coup de foudre pour cette BD, mais elle a le mérite d'avoir un graphisme agréable et de me donner envie d'en savoir plus. J'espère toutefois que les textes des autres BD me feront moins buter.
Mais j'ai envie d'en voir davantage, de découvrir ces peuples et leurs interactions, leurs coutumes et surtout j'ai envie de comprendre comment on en est arrivé là pour ce premier tome de la série des Orcs & Gobelins.
Parce que oui, je suis un peu paumée. J'ai compris qu'il y avait une guerre, qu'une grande vilaine pas très gentille avait pris le pouvoir grâce à une armée de zombies (pardon, de goules) et que le héros essaie de sauver sa peau. Ça ne m'a pas empêchée de suivre Turuk dans cette histoire, d'autant plus que lui-même, ayant perdu la mémoire (j'ai comme une impression de déjà-vu), ne sait pas trop ce qu'il lui arrive. J'ai juste été gênée par le sentiment qu'il me manquait cruellement quelque chose pour apprécier à sa juste valeur cette BD.
En revanche, ce qui m'a vraiment posé problème, c'est le langage de Turuk. Il alterne entre un langage grossier et familier ("chiure", "foutrement", "que dalle") et un langage plutôt soutenu, poétique et vieillot ("avoir des atomes crochus", "souffrance vengeresse"). La lecture a été quelque peu laborieuse pour ma part.
J'ai aussi tiqué sur un détail (vous me reprocherez peut-être de me prendre la tête, mais je n'aime pas les incohérences).
Je ne comprends pas pourquoi les orcs se trouvent moches entre eux. Il me paraît logique que chaque peuple (on peut même parler ici d'espèce) ait ses propres canons de beauté (bien que j'en ai par-dessus la tête des histoires avec des personnages beaux comme des dieux, mais ça c'est une autre histoire). J'imagine que des orcs n'ont pas le même idéal de beauté que des elfes, vu que leurs espèces n'ont pas grand-chose en commun.
Pour résumer, je n'ai pas eu de coup de foudre pour cette BD, mais elle a le mérite d'avoir un graphisme agréable et de me donner envie d'en savoir plus. J'espère toutefois que les textes des autres BD me feront moins buter.
