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Critique de majero


Appréhension d'Adrien, rentré en Roumanie après un voyage de deux années en Asie Mineure, de revoir Oncle Anghel, mourant sur lequel le destin s'est tellement acharné et qui pourtant reste serein, détaché de son corps pourri au profit de l'esprit.
Arrive Jérémie élevé par Cosma au sein de sa bande de brigands, du grand burlesque à la Kusturika et derrière tout ça un questionnement sur le sens de la vie:

» Mais je pardonne à Cosma ce que je me pardonne moins à moi, pas du tout à toi. Cosma n'avait pas de cerveau ; moi, j'ai eu la moitié d'un ; toi, tu savais à vingt ans ce que nous ne savions pas à cinquante : tu savais que les plaisirs nous font croire qu'ils sont toute la vie, qu'en dehors d'eux il n'y a rien, et c'est le contraire qui est vrai. Ce contraire je l'ai su trop tard… Cosma, lui, ne l'a jamais su.
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