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Critique de Les_lectures_de_Florelle_et_Robin
Coucou les amoureux du livre,
~
Je viens parler de « Romançons-nous un peu » de Jenny J.R - auteure et romancière
~
J'aurais pu commencer par :
Je vous ai lue
Mon âme est troublée
Laissez-moi du temps
~
Et pourtant, je me suis lancé dans la chronique.
~
C'était bien ça, qui s'est installé en moi, un sentiment de première fois.
~
Chère Jenny,
~
J'ose à penser que votre prénom est Jennifer. Je vais néanmoins utiliser votre pseudonyme. Je m'adresse à l'artiste, à l'auteure et non à la personne que vous êtes, quoique.
~
Je voulais simplement vous remercier d'avoir écrit un tel livre.
~
J'ai lu une publication qui disait, je cite « Je suis partie à la recherche DU livre, celui qui raconterait le bonheur. Vous l'avez trouvé ? » Et il n'y avait pas de réponse, aucun commentaire. Peut-être que j'aurais pu répondre, mettre un commentaire, pour dire que moi, oui, j'ai trouvé ce roman.
~
L'avez-vous trouvé Jenny ? L'avez-vous écrit ?
~
Je sens que vous avez dû prendre du “plaisir” à écrire votre livre. Je mets “plaisir” entre guillemet parce qu'il est évident que certaines larmes ont dû couler parfois.
~
En discutant avec certains, j'ai pu constater que sensibilité et sensiblerie se rapprochent de plus en plus. Je me demande où est la frontière. Dans cette société de plus en plus individualiste, n'oublions nous pas parfois l'essentiel et les petits plaisirs de la vie ? Moi j'assume et en prenant du recul, je crois que je vais penser souvent à ce livre ; à ces petits détails qui le ponctuent et qui rappellent l'essentiel… la vie.
~
Et si c'était juste ça le bonheur :
« Un couple de septuagénaires s'attarda près de leur table. L'homme replaça la bretelle du sac à main sur l'épaule de sa compagne. Une attention simple et délicate... »
~
Oui, je me pose des questions, beaucoup, après cette lecture. Se forcer à être présentable que ce soit physiquement, ou alors de part la mentalité. La sensibilité en devient presque un défaut. Et certaines lectures permettent de prendre du recul. le recul nécessaire pour réapprendre à vivre simplement.
~
Voilà, les premiers mots qui me sont venus à l'esprit avec la lecture de votre livre :
Beau, Émouvant et Troublant.
~
Je ne suis pas capable d'écrire une chronique correcte qui puisse mettre en valeur votre livre.
J'aime mettre de l'humour dans mes chroniques. J'aime quand les personnes qui lisent mes mots ont le sourire et l'âme légère. Ce roman ne peut être chroniqué de cette manière.
Et pourtant, il m'a mis très souvent le sourire aux lèvres lors de ma lecture. Pas de celui qui provient de l'amusement, celui qui vient de plus loin, un sourire qui se forme face à de l'attendrissement.
~
Et pourtant la poésie ne me parle que peu.
Et pourtant je suis un homme, …
Et pourtant… J'en sors troublé et touché.
~
J'ai eu peur en voyant cette couverture couverte de roses rouge et rose ; peur de cette enveloppe qui dit “Mesdames” venez me lire. Mais pourtant, ça a marché plus que bien sur moi.
~
J'aime penser que vous le lirez pour vous en faire une idée et que nous pourrons en discuter.
~
Romançons-nous un peu n'est pas de la romance. Il est une sorte de poésie. D'un cri au secours pour revenir à la séduction d'autrefois. La lettre, le plaisir de décacheter une enveloppe et découvrir des mots qui vous sont destinés juste à vous. Pas un mail, une lettre, c'est tellement plus personnel, tellement différent.
~
Reprendre sa vie en main pour ne repenser qu'à l'essentiel. Je ne pensais pas ressentir un truc pareil avec un livre. Bouleversant, déstabilisant, ...
~
Allez les loulous, romancez-vous un peu
C'est juste mon petit bijou fragile à moi.
~
PS : allez allez j'entends certains rire de ma chronique. Certains ont le talent pour “parler” de manière sensible, je sais, mon texte pue la sensiblerie 🙂
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Je viens parler de « Romançons-nous un peu » de Jenny J.R - auteure et romancière
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J'aurais pu commencer par :
Je vous ai lue
Mon âme est troublée
Laissez-moi du temps
~
Et pourtant, je me suis lancé dans la chronique.
~
C'était bien ça, qui s'est installé en moi, un sentiment de première fois.
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Chère Jenny,
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J'ose à penser que votre prénom est Jennifer. Je vais néanmoins utiliser votre pseudonyme. Je m'adresse à l'artiste, à l'auteure et non à la personne que vous êtes, quoique.
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Je voulais simplement vous remercier d'avoir écrit un tel livre.
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J'ai lu une publication qui disait, je cite « Je suis partie à la recherche DU livre, celui qui raconterait le bonheur. Vous l'avez trouvé ? » Et il n'y avait pas de réponse, aucun commentaire. Peut-être que j'aurais pu répondre, mettre un commentaire, pour dire que moi, oui, j'ai trouvé ce roman.
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L'avez-vous trouvé Jenny ? L'avez-vous écrit ?
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Je sens que vous avez dû prendre du “plaisir” à écrire votre livre. Je mets “plaisir” entre guillemet parce qu'il est évident que certaines larmes ont dû couler parfois.
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En discutant avec certains, j'ai pu constater que sensibilité et sensiblerie se rapprochent de plus en plus. Je me demande où est la frontière. Dans cette société de plus en plus individualiste, n'oublions nous pas parfois l'essentiel et les petits plaisirs de la vie ? Moi j'assume et en prenant du recul, je crois que je vais penser souvent à ce livre ; à ces petits détails qui le ponctuent et qui rappellent l'essentiel… la vie.
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Et si c'était juste ça le bonheur :
« Un couple de septuagénaires s'attarda près de leur table. L'homme replaça la bretelle du sac à main sur l'épaule de sa compagne. Une attention simple et délicate... »
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Oui, je me pose des questions, beaucoup, après cette lecture. Se forcer à être présentable que ce soit physiquement, ou alors de part la mentalité. La sensibilité en devient presque un défaut. Et certaines lectures permettent de prendre du recul. le recul nécessaire pour réapprendre à vivre simplement.
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Voilà, les premiers mots qui me sont venus à l'esprit avec la lecture de votre livre :
Beau, Émouvant et Troublant.
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Je ne suis pas capable d'écrire une chronique correcte qui puisse mettre en valeur votre livre.
J'aime mettre de l'humour dans mes chroniques. J'aime quand les personnes qui lisent mes mots ont le sourire et l'âme légère. Ce roman ne peut être chroniqué de cette manière.
Et pourtant, il m'a mis très souvent le sourire aux lèvres lors de ma lecture. Pas de celui qui provient de l'amusement, celui qui vient de plus loin, un sourire qui se forme face à de l'attendrissement.
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Et pourtant la poésie ne me parle que peu.
Et pourtant je suis un homme, …
Et pourtant… J'en sors troublé et touché.
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J'ai eu peur en voyant cette couverture couverte de roses rouge et rose ; peur de cette enveloppe qui dit “Mesdames” venez me lire. Mais pourtant, ça a marché plus que bien sur moi.
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J'aime penser que vous le lirez pour vous en faire une idée et que nous pourrons en discuter.
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Romançons-nous un peu n'est pas de la romance. Il est une sorte de poésie. D'un cri au secours pour revenir à la séduction d'autrefois. La lettre, le plaisir de décacheter une enveloppe et découvrir des mots qui vous sont destinés juste à vous. Pas un mail, une lettre, c'est tellement plus personnel, tellement différent.
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Reprendre sa vie en main pour ne repenser qu'à l'essentiel. Je ne pensais pas ressentir un truc pareil avec un livre. Bouleversant, déstabilisant, ...
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Allez les loulous, romancez-vous un peu
C'est juste mon petit bijou fragile à moi.
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PS : allez allez j'entends certains rire de ma chronique. Certains ont le talent pour “parler” de manière sensible, je sais, mon texte pue la sensiblerie 🙂
