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Critique de jeannedesaubry


Voilà un auteur, universellement connu pour sa série égyptienne « Ramsès », qui nous bricole un héros de roman policier que ne renierait pas notre mère à tous, je veux dire l'inégalable Agatha Christie.
Inégalable… mais presque égalée ici. À tel point que dans cette enquête, au moment où l'on voit apparaître téléphones portables et autres ordinateurs dans le cadre délicieux d'un manoir anglais, en pleine campagne vallonnée, on est presque choqué de se voir ramené au temps présent.
Plantons plus précisément le décor : le manoir parfaitement élisabéthain (doté même d'une pièce secrète) accueille chaque année un festival élitiste de musique lyrique. Mais cette année-là, la représentation-phare voit à son affiche un horrible ténor doté de peu de talent mais de beaucoup d'estime de lui, par ailleurs totalement dénué de scrupule. L'homme est capable de faire chanter (maître chanteur, ténor, tout ça est affaire d'oreille ?) un directeur d'opéra pour obtenir un grand rôle. Mais le voilà qui meurt à la Molière : en scène, pendant la grande scène du festin de pierre ! Car c'est don Juan que l'affreux joue à la scène comme à la vie. Forcément, tout le monde a de bonnes raisons de s'en défaire…
L'inspecteur Higgins ne dépare pas dans le cadre précieux du château : lui-même noble, riche et doté d'une fabuleuse intuition, assisté (à la Sherlock) par un inspecteur un peu laborieux : Marlow. Duo savoureux (muffins et sandwichs au concombre ?) de l'aristocrate cultivé, mozartien et du flic balourd. Et le passage en revue des artistes : diva, valet, baryton… du cousu main. ...
Lire la chronique complète et les autres, sur le blog de Jeanne Dedaubry
Lien : http://jeanne.desaubry.over-..
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