Urgence absolue : on prend les mêmes que
Sphinx (sauf les macchabées) et on recommence. Toujours Bruce et Mark et leurs Cambodgiennes, toujours le whisky et les menus à la pelle, toujours le même style demi de mêlée, toujours la Machine puissante et omniprésente, ...
On suit une multitude d'aventures rocambolesques dans la lignée du premier opus et pour la même finalité. On voyage beaucoup à nouveau mais quand on dispose d'une batterie de jets privés, où est le problème? Tout comme les gadgets incroyables qui feraient pâlir d'envie James Bond et consorts.
Christian Jacq poursuit également son énumération des dignitaires du groupe des Neufs et de leurs pouvoirs et missions sacrées à travers les millénaires. le côté ésotérico-mystique est parfois un chouïa trop appuyé à mon goût et s'oppose dans un manichéisme basique aux tenants de la Machine.
Bref, un roman un cran en dessous encore de
Sphinx. Si l'envie prend à l'auteur d'en pondre un troisième, je passerai mon tour cette fois-ci.
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