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Critique de Fuyating
J'ai eu un énorme coup de coeur pour ce roman slovène que j'ai découvert pendant mon tour du monde littéraire.
Tout est magnifique et très bien pensé, que ce soit au niveau du fond et de la forme. Concernant cette dernière, nous avons à faire à cinq narrateur différents, un par chapitre. Ils nous partagent des morceaux de leur vie et surtout leur relation avec Veronika, cette femme incroyable, intrigante, tellement vivante et candide. J'ai adoré cette forme qu'a choisi l'auteur, nous permettant petit à petit de recoller les morceaux, d'assembler le puzzle sur ce qui a pu arriver à cette femme hors du commun, sachant piloter, ayant eu pour animal de compagnie un alligator, incroyablement moderne pour l'époque et ne se souciant pas du qu'en dira-t-on.
Concernant l'histoire, elle est tout simplement bouleversante. Il est question ici de disparitions, de questionnements et de quête de la vérité pendant la deuxième guerre mondiale (et après) en Slovénie, période sombre et tragique.
Je me suis beaucoup attachée à Veronika, cette jeune femme qui n'aura jamais la parole mais que nous connaissons à travers le prisme de cinq personnes différentes l'ayant toutes aimée à leur façon. J'ai apprécié également son amour infini pour les chevaux, meilleur ami de l'homme et surtout symbole de la liberté, cette liberté dont elle avait soif. Les chevaux sont fidèles et nous pouvons leur faire confiance, comparés aux hommes, surtout en temps de guerre.
J'ai aimé cette candeur que Veronika dégageait, son amour pour tous, ses attentions touchantes, son désir d'être proche de ses employés, n'ayant cure d'être une patronne.
J'ai ressenti beaucoup de choses pendant cette lecture : de la compassion, de la tristesse mais aussi de la colère pour ces actes irréfléchis que l'on peut avoir, cette façon que les hommes ont de voir une chose sans essayer de la comprendre. Ce sont des petits riens mal compris mais qui engendrent des catastrophes.
Tout est magnifique et très bien pensé, que ce soit au niveau du fond et de la forme. Concernant cette dernière, nous avons à faire à cinq narrateur différents, un par chapitre. Ils nous partagent des morceaux de leur vie et surtout leur relation avec Veronika, cette femme incroyable, intrigante, tellement vivante et candide. J'ai adoré cette forme qu'a choisi l'auteur, nous permettant petit à petit de recoller les morceaux, d'assembler le puzzle sur ce qui a pu arriver à cette femme hors du commun, sachant piloter, ayant eu pour animal de compagnie un alligator, incroyablement moderne pour l'époque et ne se souciant pas du qu'en dira-t-on.
Concernant l'histoire, elle est tout simplement bouleversante. Il est question ici de disparitions, de questionnements et de quête de la vérité pendant la deuxième guerre mondiale (et après) en Slovénie, période sombre et tragique.
Je me suis beaucoup attachée à Veronika, cette jeune femme qui n'aura jamais la parole mais que nous connaissons à travers le prisme de cinq personnes différentes l'ayant toutes aimée à leur façon. J'ai apprécié également son amour infini pour les chevaux, meilleur ami de l'homme et surtout symbole de la liberté, cette liberté dont elle avait soif. Les chevaux sont fidèles et nous pouvons leur faire confiance, comparés aux hommes, surtout en temps de guerre.
J'ai aimé cette candeur que Veronika dégageait, son amour pour tous, ses attentions touchantes, son désir d'être proche de ses employés, n'ayant cure d'être une patronne.
J'ai ressenti beaucoup de choses pendant cette lecture : de la compassion, de la tristesse mais aussi de la colère pour ces actes irréfléchis que l'on peut avoir, cette façon que les hommes ont de voir une chose sans essayer de la comprendre. Ce sont des petits riens mal compris mais qui engendrent des catastrophes.
