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Critique de Erik35
LE PÈRE DE LA PATRIE...
... Evidemment, exprimé ainsi, et pour un bref royaume devenu par la suite duché, "simple" province pour être aujourd'hui une Région administrative, cela peut sembler un rien excessif et prétentieux mais, pour cette fois - et bien que cela soit par ailleurs tout sauf un choix neutre de la part des auteurs -, il s'agit du surnom qui fut donné au premier des rois historiques que la Bretagne eut au cours de sa longue histoire, à savoir le Roi Nominoë (Il y eu bien le Roi Morvan au début du 9ème siècle mais c'est sur une Bretagne plus réduite, et sans succession directe, qu'il régnât).
En réalité, si l'on prend cet album, celui-ci retrouve, en toute logique, le fil du précédent volume et c'est Erispoë, son fils et futur successeur qui apprend la nouvelle du décès de son père aux porte de Vendôme.
L'aventure se poursuit avec celle du Roi Salomon, cousin - et accessoirement assassin - du précédent qui portera au plus loin de toute son histoire les frontières du Royaume de Bretagne.
Une période historique pleine de feu et de sang, sous le signe des luttes entre grands seigneurs, de la mise à distance du grand voisin franc et de l'arrivée violente des fameux envahisseurs venus du nord, les vikings, que l'on appellera par la suite "normands" (NB : "Nordman", homme du nord).
Affaire à suivre avec ses deux volets terminaux et une critique un peu plus développée de cet ensemble en cinq actes.
... Evidemment, exprimé ainsi, et pour un bref royaume devenu par la suite duché, "simple" province pour être aujourd'hui une Région administrative, cela peut sembler un rien excessif et prétentieux mais, pour cette fois - et bien que cela soit par ailleurs tout sauf un choix neutre de la part des auteurs -, il s'agit du surnom qui fut donné au premier des rois historiques que la Bretagne eut au cours de sa longue histoire, à savoir le Roi Nominoë (Il y eu bien le Roi Morvan au début du 9ème siècle mais c'est sur une Bretagne plus réduite, et sans succession directe, qu'il régnât).
En réalité, si l'on prend cet album, celui-ci retrouve, en toute logique, le fil du précédent volume et c'est Erispoë, son fils et futur successeur qui apprend la nouvelle du décès de son père aux porte de Vendôme.
L'aventure se poursuit avec celle du Roi Salomon, cousin - et accessoirement assassin - du précédent qui portera au plus loin de toute son histoire les frontières du Royaume de Bretagne.
Une période historique pleine de feu et de sang, sous le signe des luttes entre grands seigneurs, de la mise à distance du grand voisin franc et de l'arrivée violente des fameux envahisseurs venus du nord, les vikings, que l'on appellera par la suite "normands" (NB : "Nordman", homme du nord).
Affaire à suivre avec ses deux volets terminaux et une critique un peu plus développée de cet ensemble en cinq actes.
