Pour oublier, Marius boit, il boit plus d'un litre de whisky par jour. Un soir, l'alcool empire son état et son frère l'amène à St Anne. Il y restera deux semaines en HDT.
Il nous raconte ce quotidien particulier où il n'y a rien à faire mise à part fumer.
L'écriture est rythmée. On a dû mal à croire que ce genre de choses arrive en France aujourd'hui. Je me suis dit, non, il exagère mais non puisqu'il s'agit de son vécu. Marius, l'auteur, nous raconte son impression d'emprisonnement, ce vide et cette impuissance.
J'ai beaucoup aimé l'écriture et le fait d'être bousculé dans mes représentations.
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