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Critique de gwendal
Second tome de Rois du monde, où l'on retrouve Bellovèse, plus vieux que dans le premier tome quelques années s'étant écoulées, en route vers Autricon pour célébrer le Cintusmos, le premier jour de l'été.
Cette cérémonie en présence du grand druide et du Haut roi Ambigat, va être le théâtre d'événements qui vont changer le cours de la vie de beaucoup de protagonistes.
Ce tome est placé sous le signe de l'action, des rites druidiques et guerriers. Les héros et les rois ont une place centrale, tout tourne autour de leurs relations, des liens d'amitiés, d'alliance, de respect ou de défiance. le surnaturel intervient à petites doses, mais marquantes et importantes.
Le style de l'auteur est toujours d'une qualité assez bluffante. Alors que beaucoup moins poétique que dans le premier tome, son écriture se fait plus nerveuse et on suit haletant les évènements qui s'enchainent. Il y a quelques scènes d'anthologies qui resteront gravées sur ma rétine (oui je les ai tellement bien vues !) à jamais ().
Une totale réussite une fois de plus pour ce tome, j'en redemande.
Cette cérémonie en présence du grand druide et du Haut roi Ambigat, va être le théâtre d'événements qui vont changer le cours de la vie de beaucoup de protagonistes.
Ce tome est placé sous le signe de l'action, des rites druidiques et guerriers. Les héros et les rois ont une place centrale, tout tourne autour de leurs relations, des liens d'amitiés, d'alliance, de respect ou de défiance. le surnaturel intervient à petites doses, mais marquantes et importantes.
Le style de l'auteur est toujours d'une qualité assez bluffante. Alors que beaucoup moins poétique que dans le premier tome, son écriture se fait plus nerveuse et on suit haletant les évènements qui s'enchainent. Il y a quelques scènes d'anthologies qui resteront gravées sur ma rétine (oui je les ai tellement bien vues !) à jamais ().
Une totale réussite une fois de plus pour ce tome, j'en redemande.
