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Critique de uaeroffat
La quatrième de couverture était stimulante : 2050, les humains sont désormais "pucés" dans leur majorité, devenant des êtres "augmentés"… pour le meilleur et (surtout) le pire. Une minorité résiste, en France dans la "zone blanche", dont Marseille est la capitale. Une dystopie, donc, qui pourrait devenir réalité.
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Le livre est malheureusement décevant. Écrit par deux autrices – une romancière et une scientifique – il oscille sans cesse entre l'intrigue et les descriptions techniques, en une sorte de combat permanent et désordonné. Comme le roman est assez bref (moins de 200 pages), on survole l'action et les personnages. Presque un long synopsis, un scénario incomplet.
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Autre déception : dès le prologue, la "fin" nous est révélée, en forme de pirouette puisqu'elle permet de tout laisser en plan sans aller jusqu'au bout des conséquences de l'intrigue. On peut la révéler puisque c'est le choix des autrices : des extraterrestres sur-développés s'apprêtent à prendre le contrôle de la Terre et de ses habitants.
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Quant aux personnages, ils sont caricaturaux et peu crédibles : un couple de Prix Nobel arrivistes, un Pape albinos de vingt ans, un hacker ambivalent, et “l'Enfant” de la cheffe des résistants (Oona), qui n'est "ni une fille ni un garçon" et n'a pas de prénom, et qui serait une sorte de Messie capable de sauver les Hommes – enfin, ce n'est pas clair, il faut relire le tout dernier paragraphe du livre.
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Bref ! Les ingrédients sont là pour un roman qui resterait à (ré)écrire.
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Le livre est malheureusement décevant. Écrit par deux autrices – une romancière et une scientifique – il oscille sans cesse entre l'intrigue et les descriptions techniques, en une sorte de combat permanent et désordonné. Comme le roman est assez bref (moins de 200 pages), on survole l'action et les personnages. Presque un long synopsis, un scénario incomplet.
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Autre déception : dès le prologue, la "fin" nous est révélée, en forme de pirouette puisqu'elle permet de tout laisser en plan sans aller jusqu'au bout des conséquences de l'intrigue. On peut la révéler puisque c'est le choix des autrices : des extraterrestres sur-développés s'apprêtent à prendre le contrôle de la Terre et de ses habitants.
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Quant aux personnages, ils sont caricaturaux et peu crédibles : un couple de Prix Nobel arrivistes, un Pape albinos de vingt ans, un hacker ambivalent, et “l'Enfant” de la cheffe des résistants (Oona), qui n'est "ni une fille ni un garçon" et n'a pas de prénom, et qui serait une sorte de Messie capable de sauver les Hommes – enfin, ce n'est pas clair, il faut relire le tout dernier paragraphe du livre.
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Bref ! Les ingrédients sont là pour un roman qui resterait à (ré)écrire.
