C'est sombre et lumineux à la fois. C'est d'une mélancolie profonde qui vous enveloppe jusqu'à la fin.
Les
Bordes sont à l'image de cette violence qu'ils renvoient, et trouver sa place n'est jamais simple.
La plume oscille entre poésie et cri de rage, et on y retrouve toute la puissance déjà bien présente dans
Préférer l'hiver.
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