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Critique de Arwen78


Une institutrice écrit une longue lettre à un soldat pour lui dire les liens qui les rattachent.
En 1892, Eugénie est placée comme perceptrice chez la Châtelaine Madame Courcelle pour s'occuper de sa fille Marguerite.
Quelques jours plus tard arrive Camille Claudel qui vient tous les ans pour la période estivale. Elle passera ses journées le carnet à la main pour dessiner et la nuit, elle sculptera ses danseurs, oeuvre intitulée La valse jusqu'à ne plus tenir debout. Pendant ce temps, elle entretient une relation épistolaire avec Claude Debussy, celui-ci prépare L'après-midi d'un fauve pour Mallarmé.
Rodin vient également rejoindre Camille, pour y sculpter son Balzac.
L'histoire mêle le roman et le vécu de ces artistes ainsi que leurs sentiments.
On s'attache à ce récit qui est vraiment étincelant et poétique.
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