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Critique de Clecorre
Ce livre a réveillé ma curiosité. J'avais hâte de poser les yeux dessus mais en même temps un peu peur. Pourquoi peur ? Parce que le résumé nous plonge directement dans le fantastique... et qu'il y a une histoire d'amour. Or, moi, les histoires d'amour Young Adult, ça me fait vraiment peur. Trop de déceptions.
Alors, je suis rentrée dans Salmacis avec la boule au ventre. le style est bien, agréable, franchement c'est presque "doux". Et c'est très bien comme ça.
Concernant les personnages. Les deux jumeaux ont un côté attendrissants au début. On saisit bien la peine qui tourmente Faustine. On s'y attache. Plus tard, Sasha, son frère, se détache d'elle, et on ressent un nouvel abandon pour cette jeune fille. Il y a un côté immature, désespéré, déchirant. On ne s'attend pas à toujours avoir des héroïnes fortes et prêtes à se battre. Certaines, comme Faustine, se laisse aller, perde confiance, broie du noir.
Puis, arrive Andréa. le mystérieux Andréa. Et ... ha ha ! devinez quoi ? C'est le coup de foudre ! Bah oui ! Trop facile. Bon... Faustine essaie de se rapprocher de ce bel Apollon qui semble tantôt la repousser, tantôt jouer avec ses sentiments. En tant que lecteur, on est paumé. Qu'est-ce qu'il veut au final ? Oui, on a compris qu'il l'aimait bien (on se demande bien pourquoi d'ailleurs). Voilà typiquement ce qui m'agace avec les histoires d'amour Young Adult : on tombe amoureux sans raisons. Je dis pas qu'il faut toujours des raisons. Mais honnêtement, un peu de nuances, ça ne ferait pas de mal. On ne tombe pas amoureux que d'un physique. On tombe amoureux d'une âme, d'une personnalité, d'une intelligence. Et Faustine en manque. Andréa, quant à lui, a l'air d'être hypnotisé puisqu'il ne jure que par elle. Ça ne rend plus rien crédible (bon, c'est un roman fantastique après tout). Mais passons ces détails...
Au niveau de l'histoire, c'est intéressant. Original, certes, mais pourquoi ne pas aller plus loin ?! Malheureusement, on s'ennuie aussi entre les chapitres. Parfois, il ne se passe pas grand-chose et le secret d'Andréa est long à venir.
Je justifie mon 3/5 vis à vis des clichés amoureux que je ne supporte tout simplement plus, et de ces quelques longueurs.
Alors, je suis rentrée dans Salmacis avec la boule au ventre. le style est bien, agréable, franchement c'est presque "doux". Et c'est très bien comme ça.
Concernant les personnages. Les deux jumeaux ont un côté attendrissants au début. On saisit bien la peine qui tourmente Faustine. On s'y attache. Plus tard, Sasha, son frère, se détache d'elle, et on ressent un nouvel abandon pour cette jeune fille. Il y a un côté immature, désespéré, déchirant. On ne s'attend pas à toujours avoir des héroïnes fortes et prêtes à se battre. Certaines, comme Faustine, se laisse aller, perde confiance, broie du noir.
Puis, arrive Andréa. le mystérieux Andréa. Et ... ha ha ! devinez quoi ? C'est le coup de foudre ! Bah oui ! Trop facile. Bon... Faustine essaie de se rapprocher de ce bel Apollon qui semble tantôt la repousser, tantôt jouer avec ses sentiments. En tant que lecteur, on est paumé. Qu'est-ce qu'il veut au final ? Oui, on a compris qu'il l'aimait bien (on se demande bien pourquoi d'ailleurs). Voilà typiquement ce qui m'agace avec les histoires d'amour Young Adult : on tombe amoureux sans raisons. Je dis pas qu'il faut toujours des raisons. Mais honnêtement, un peu de nuances, ça ne ferait pas de mal. On ne tombe pas amoureux que d'un physique. On tombe amoureux d'une âme, d'une personnalité, d'une intelligence. Et Faustine en manque. Andréa, quant à lui, a l'air d'être hypnotisé puisqu'il ne jure que par elle. Ça ne rend plus rien crédible (bon, c'est un roman fantastique après tout). Mais passons ces détails...
Au niveau de l'histoire, c'est intéressant. Original, certes, mais pourquoi ne pas aller plus loin ?! Malheureusement, on s'ennuie aussi entre les chapitres. Parfois, il ne se passe pas grand-chose et le secret d'Andréa est long à venir.
Je justifie mon 3/5 vis à vis des clichés amoureux que je ne supporte tout simplement plus, et de ces quelques longueurs.
