Les amis, c'est comme les meilleures choses de la vie: plus on les partage et plus on en a.
On obtient rien, des hommes comme des chiens, en hurlant ou en levant un fouet.
C’est plus facile d’avancer lorsqu’un phare éclaire votre route, balise le chemin, vous évite les obstacles. L’amour que je porte à Sasha, il me le retourne en prenant soin de moi. Notre complicité est un cocon dont je n’ai pas la moindre envie de sortir.
Moi, je suis celle qui se cache, celle qu'on découvre, celle que l'on compare ; je suis la sœur zarbi du mec très sympa, du petit ami rêvé, du surdoué si cool ; je suis celle qui vit dans l'ombre de son frère. Cela a toujours été ma place et jamais je n'ai eu l'idée de me plaindre. Si je devais être tout à fait honnête, je dirais même que cela m'arrange : c'est p lus facile d'avancer lorsqu'un phare éclaire votre route, balise le chemin, vous évite les obstacles.
Je me représentais bien assez bien notre table ... : une nature morte de débris rejetés par la mer et laissés sur la plage à marrée basse, des déchets bons pour la poubelle, à moins qu'un esprit un peu artiste, un peu poète, ne s'en empare pour leur laideur sympathique et leur absence de clinquant. Déjà je nous avais baptisés "Le Clan des Proscrits".
Sa voix était morne, atone, dépourvue de joie. Une voix faite pour ôter du monde toute trace de bonheur...
C'était le regard de ma mère que je voyais, le regard de quelqu'un qui avait renoncé à vivre, le regard d'un être hanté par la mort.