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Critique de Lhombreduvent


Comment vous livrer ici l'ensemble de mes émotions encore à fleur de peau même quelques semaines après (j'ai fini le livre sur les rotules). Ça part dans tous les sens dans ma tête, c'est à chaque fois la même chose quand le livre me plait énormément. Je suis passée du sourire, aux larmes !
L'auteure arrive très bien à retranscrire des sentiments divers et nous les faire partager. Son écriture a été d'un réel ravissement pour moi. Il y a un vrai fil conducteur, du début à la fin du livre, qui est toujours respecté, jusqu'au moindre détail, je n'ai jamais été perdue. Jamais je ne me suis dit que je devais revenir en arrière pour comprendre telle ou telle attitude ou scène. C'était clair, concis quand il le fallait et plus détaillé quand il s'agissait de décrire certaines villes du Portugal. Par exemple lorsque Tony voulait transmettre sa passion et sa nostalgie à Clarisse/Nina en lui contant la merveilleuse histoire, même si très triste (fait historique) de la Reine d'Inês de Castro et du roi Pédro, dans le Monastère d'Albaçao.
Je pourrais vous citer un tas de ville mais lisez le livre ! D'ailleurs on sent très bien l'amour de l'auteure pour le Portugal !
Il faut être fortiche, moi je vous le dis, pour me faire aimer l'histoire d'un pays que je ne connais pas, au point d'ouvrir mon PC et d'aller voir les images et les textes s'y rapportant (même si je suis curieuse de nature), tel ou tel endroit, les plages par exemple aussi (moi qui apprécie moins l'Atlantique, je suis Italienne d'origine), là j'étais scotchée.
Vous l'aurez compris, l'histoire de Clarisse, 13 ans, qui fuit sa famille pour retrouver une liberté perdue, m'a conquise. Bien sûr on traverse, avec l'héroïne, les blessures psychologiques qu'elle endure ; l'envie d'être aimée avec affection et non indifférence, sa révolte, comme pas mal d'adolescents d'ailleurs (mais pas seulement), l'incompréhension qu'elle vit avec ses psychologues.
J'arrête là, parce que je pourrais en parler pendant des heures !
Merci beaucoup. À lire sans faute !
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