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Critique de Tbilissi
Yakari est un petit indien d'Amérique qui a la particularité de pouvoir parler aux animaux.
Dans cette aventure il fait la rencontre d'un magnifique et mystérieux élan blanc -on apprend finalement qu'il est atteint d'albinisme- qu'il va tenter de protéger par tous les moyens, démontrant une nouvelle fois sa gentillesse et sa ruse hors du commun.
On retrouve dans ce dernier opus de la célèbre bande-dessinée jeunesse les thèmes récurrents des précédents épisodes :
- la solidarité avec les amis animaux (l'élan blanc, donc, mais aussi le corbeau Mic-Mac et les castors, désormais de vielles connaissances du petit indien).
- l'amitié avec Arc-en-ciel, et dans une moindre mesure Petit-Tonnerre, un peu en retrait dans cet album.
- la poésie et le charme de vielles légendes indiennes.
- la présence d'un "vrai méchant", ici Arc-Tendu, le chasseur de gibiers blancs.
- le deus ex-machina par l'animal totem de Yakari, Grand Aigle.
- la fin toujours un peu poétique, voire philosophique.
Je prends toujours beaucoup de plaisir à retrouver l'univers si sain et joyeux de Yakari, qui a bercé mon enfance et accompagne désormais celle de mes garçons. Ce très bel album ne déroge pas à la règle.
Dans cette aventure il fait la rencontre d'un magnifique et mystérieux élan blanc -on apprend finalement qu'il est atteint d'albinisme- qu'il va tenter de protéger par tous les moyens, démontrant une nouvelle fois sa gentillesse et sa ruse hors du commun.
On retrouve dans ce dernier opus de la célèbre bande-dessinée jeunesse les thèmes récurrents des précédents épisodes :
- la solidarité avec les amis animaux (l'élan blanc, donc, mais aussi le corbeau Mic-Mac et les castors, désormais de vielles connaissances du petit indien).
- l'amitié avec Arc-en-ciel, et dans une moindre mesure Petit-Tonnerre, un peu en retrait dans cet album.
- la poésie et le charme de vielles légendes indiennes.
- la présence d'un "vrai méchant", ici Arc-Tendu, le chasseur de gibiers blancs.
- le deus ex-machina par l'animal totem de Yakari, Grand Aigle.
- la fin toujours un peu poétique, voire philosophique.
Je prends toujours beaucoup de plaisir à retrouver l'univers si sain et joyeux de Yakari, qui a bercé mon enfance et accompagne désormais celle de mes garçons. Ce très bel album ne déroge pas à la règle.
