Le troisième tome du Lama Blanc, Gabriel, faisant son trou dans une Lamasserie en déshérence, ne réserve pas vraiment de surprises.
Le scenario reste classique quoique efficace, le dessin, en particulier les trognes dégénérées des moines, dessinés souvent en contreplongée ou en gros plan, la couleur systématiquement rougeâtre des arriere-plans contribuent à créer l'ambiance de décadence du monastère.
Évidemment on s'arrête à la découverte du pouvoir spécial de Gabriel, idée de donner envie de lire le quatrième tome... et je me tâte !
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