AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bdelhausse


Le tome commence par une confrontation entre Albino et un être-planète qui essaie de se nourrir des 500.000 adeptes qu'Albino transporte pour recréer un monde de paix. Cet épisode est plus dynamique, plus vif et plus digeste que l'ensemble des souvenirs du Suprême Technopère.

Albino continue ses souvenirs. Il est devenu un concepteur de jeu pan-techno, le meilleur, il a triomphé de tous les pièges. Alors il se meure aux bourreaux et aidé par Severo de Loyoza, qui apparaît de temps en temps, ectoplasme pan-virtuel, pour guider les pas d'Albino.

Il devient (évidemment) bourreau en contournant les pièges dressés contre lui. Il se dirige alors (pour la prochain tome) vers la secte des techno-évêques qu'il veut intégrer.

De son côté, Panepha arrive à rabattre les prétentions d'Almagro. Erghen, le troisième violeur, est déjà castré, ayant offert ses testicules à sa divinité. Il lui fait alors don de son propre corps, et Almagro prend la place d'Erghen.

Ce genre de BD écrite sous acide est relativement indigeste quand même. Je suppose que cela se sent dans le résumé que j'en fais. Mais la mise en dessin est somptueuse, on regarde ses atroces perversions, cette cruauté inhumaine sur papier glacé et on se repaît des seules images, tant elles sont impeccables. Cela sauve (en partie) le récit (dont on éprouve quand même grand mal à voir la cohérence, le sens, la finalité).
Commenter  J’apprécie          10



Ont apprécié cette critique (1)voir plus




{* *}