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Critique de Lenora
J'ai eu énormément de mal à me plonger dans ce second tome, non pas à cause de l'histoire, mais parce que je ne me souvenais plus du tout où j'avais laissé Mia dans le premier tome. Un vrai trou noir, allez savoir pourquoi... Et c'est dans des cas comme celui-ci qu'un bref résumé au début de l'ouvrage serait la bienvenue dans les suites de saga. Chers éditeurs, pensez-y s'il vous plaît, un petit rafraîchissement ne ferait pas de mal, ne serait-ce que deux petites pages !
Malgré tout, je ne me suis pas laissée démonter et j'ai tenté de m'immiscer à nouveau dans l'histoire. On ne va pas mentir, ça a été un peu difficile. En plus d'avoir perdu le fil par rapport au précédent opus, le début du roman traîne beaucoup en longueur notamment avec les plaintes perpétuelles de Mia. On a un peu du mal à la comprendre, ce qui provoque rapidement un manque d'empathie envers elle. Je comprends que le personnage se veut être accessible au lecteur mais cette jeune femme pense et prends des décisions qui ne sont pas logiques. J'ai trouvé que Mia ne tenait pas la route dans ce tome et qu'il était difficile d'être accord avec elle sur certains points .
En réalité, je n'ai trouvé aucun personnage attachant ou intéressant. le Conseiller semblait pourtant intriguant mais ne l'ayant pas vu d'avantage, on pourra lui déplorer un manque de profondeur. Voire même pour les autres personnages, et c'est fort dommage.
On trouve aussi beaucoup de raccourcis scénaristiques, tout particulièrement à partir de la moitié de l'histoire et vers la fin du roman qui au contraire du début qui traînait en longueur, se voit accélérer et suivre un fil un peu facile à mon goût. du coup, je suis passée un peu à côté de l'action et je n'ai pas trouvé de satisfaction dans les explications qu'on retrouve au dénouement. Par conséquent, j'ai vraiment l'impression d'avoir été en dehors de ma lecture et de n'avoir pas pu en profiter du tout...
Je retiens par contre que Julie Jodts a une écriture remarquable ! J'aimerais à nouveau tenter l'aventure avec elle en lisant un de ses autres romans. Cette duologie n'était sans doute pas pour moi, mais vraiment, cette plume, j'ai beaucoup aimé. J'ai vu qu'elle avait écrit un contemporain, je pense que je tenterai ma chance malgré mon avis mitigé sur cette duologie.
Malgré tout, je ne me suis pas laissée démonter et j'ai tenté de m'immiscer à nouveau dans l'histoire. On ne va pas mentir, ça a été un peu difficile. En plus d'avoir perdu le fil par rapport au précédent opus, le début du roman traîne beaucoup en longueur notamment avec les plaintes perpétuelles de Mia. On a un peu du mal à la comprendre, ce qui provoque rapidement un manque d'empathie envers elle. Je comprends que le personnage se veut être accessible au lecteur mais cette jeune femme pense et prends des décisions qui ne sont pas logiques. J'ai trouvé que Mia ne tenait pas la route dans ce tome et qu'il était difficile d'être accord avec elle sur certains points .
En réalité, je n'ai trouvé aucun personnage attachant ou intéressant. le Conseiller semblait pourtant intriguant mais ne l'ayant pas vu d'avantage, on pourra lui déplorer un manque de profondeur. Voire même pour les autres personnages, et c'est fort dommage.
On trouve aussi beaucoup de raccourcis scénaristiques, tout particulièrement à partir de la moitié de l'histoire et vers la fin du roman qui au contraire du début qui traînait en longueur, se voit accélérer et suivre un fil un peu facile à mon goût. du coup, je suis passée un peu à côté de l'action et je n'ai pas trouvé de satisfaction dans les explications qu'on retrouve au dénouement. Par conséquent, j'ai vraiment l'impression d'avoir été en dehors de ma lecture et de n'avoir pas pu en profiter du tout...
Je retiens par contre que Julie Jodts a une écriture remarquable ! J'aimerais à nouveau tenter l'aventure avec elle en lisant un de ses autres romans. Cette duologie n'était sans doute pas pour moi, mais vraiment, cette plume, j'ai beaucoup aimé. J'ai vu qu'elle avait écrit un contemporain, je pense que je tenterai ma chance malgré mon avis mitigé sur cette duologie.
