Justice League - Urban, tome 2 : L'odyssée du mal

Pour ce deuxième tome on retrouve au scénario, Geoff Johns, qui comme toujours, fait du très très bon boulot. Bon, certains diront sans doute que c'est du déjà vu, que parfois il ne se casse pas trop la tête, mais moi, je porte une réelle affection sur cet auteur, dont aucune de ses séries ne m'a encore jamais déçue.

Du coté des dessins par contre c'est un peu chaotique car on ne retrouve pas deux fois le même d'un chapitre à l'autre, chacun dessinant les personnages à sa façon. C'est vraiment casse pied, mais bon, il vaut mieux que se soit les dessinateurs qui se succèdent plutôt que les auteurs.

L'intrigue est assez basique et mets en avant un nouveau méchant. Pas très balèze ou machiavélique, mais il fait le job. de plus, certains de nos super héros favoris sont mis en retrait pour laisser un peu plus de place aux autres, ce qui est appréciable une fois de temps en temps.

Un tome un peu en dessous pas rapport au premier, mais toujours aussi plaisant à lire.

Mouais…

Ce deuxième tome de Justice League ne fera à coup sûr pas partie de mon top 5. Quand on connaît le potentiel surmultiplié de cette bande de héros c'est plutôt frustrant.

Le livre contient les épisodes 7 à 12 de la série (avec un petit plus). Les deux premiers épisodes sont insipides. On a une succession de fin de combats avec des vilains divers, un Green Arrow qui essaie à chaque fois de rentrer dans le groupe et se fait débouter, des membres de la ligue à qui la célébrité et la presque déification ont monté à la tête. Aucun focus sur une personnalité, des dialogues hachés et de faible portée émotionnelle. le seul auquel on s'attache est finalement l'humain pathétique Steeve Trevor.

La suite est plus intéressante. La Ligue affronte un ennemi capable de mettre les héros face à leurs proches disparus et de faire naître l'illusion que leur retour est possible. Touchés chacun dans leur for intérieur, les héros vont dégringoler de leur piédestal. Ils vont prendre conscience de leurs limites. Même l'arrogant Green Lantern, qui a toujours l'air de rigoler de tout devient plus grave et réfléchi.
Ces épisodes-là sont plus intenses et le vilain a une réelle profondeur. Mais ils ne permettent pas de mettre en action toute la puissance et la ruse des héros. C'est plus une guerre psychologique qu'il s'agit de gagner.

Il faut aussi noter le changement fréquent de dessinateur, qui montre que la série n'arrive pas à se stabiliser.

L'album se termine par de petits teasers sur la suite et d'une histoire courte mettant en scène les origines de Pandora et de Question. J'espère que cette suite correspondra plus à mes attentes.

Le premier tome de cette saga qui fait partie de la première vague du fameux relaunch “The New 52″ de DC Comics, rebaptisé DC Renaissance par Urban Comics, revenait sur la création de la Justice League. Cinq ans après ce fameux combat contre Darkseid, l'équipe composée de Superman, Aquaman, Wonder Woman, Green Lantern, Flash, Cyborg et Batman est au sommet de sa popularité, notamment grâce au livre écrit par David Graves : « La Ligue de Justice : Des Dieux Parmi Nous » !

Ce deuxième volume, qui reprend les épisodes US #7 à #12 ainsi que le Justice League #0, fait cependant tomber le groupe de son piédestal et c'est ce même David Graves qui se retrouve à l'origine de la chute de ces dieux des temps modernes. Des problèmes de confiance aux querelles internes, le lecteur découvre progressivement que tout n'est pas forcément rose au sein de l'équipe des plus grands super-héros du monde.

Le méchant dont doit s'occuper la Justice League n'est cependant pas très charismatique et ce pouvoir qui lui permet de se nourrir de la détresse des autres semble un peu sorti de nulle part, mais son rôle est surtout d'accentuer les problèmes internes du groupe. Si certains passages sont intéressants au niveau de la dynamique de groupe, le développement psychologique des personnages manque tout de même un peu de profondeur. le personnage le plus intéressant n'est d'ailleurs pas l'un des super-héros, mais Steve Trevor, l'agent de liaison entre l'équipe et le gouvernement qui est amoureux de Diana. On notera également l'arrivée de Green Arrow, dont les tentatives d'intégration au sein du groupe sont finalement assez amusantes.

Du point de vue du scénario, le récit est assez classique, mais parfaitement maîtrisé. Les auteurs offrent de l'excellent divertissement, porté sur l'action et saupoudré de quelques touches d'humour que je qualifierais volontiers de « spidermanesques ». Cela manque certes un peu de profondeur, mais l'idée de s'interroger sur le rôle de la Justice League n'est finalement pas mauvaise. Visuellement, le déclin du groupe n'est pas uniquement mis en images par Jim Lee, mais également par quelques artistes remplaçants qui se débrouillent très bien, tels que Ivan Reis, Gene Ha, Carlos d'Anda ou Kenneth Rocafort. Jim Lee ne livre peut-être pas son meilleur travail, mais ses planches demeurent tout de même somptueuses. Son style dynamique, ses cadrages hollywoodiens et sa façon de mettre en valeur les actions de ses personnages à coups de doubles-pages percutantes contribuent indéniablement à la qualité de ce récit.

En fin d'album, le lecteur découvre le numéro du Free Comic Book Day qui présente le personnage de Pandora, ainsi que des pages du Justice League #0. Cela tombe un peu comme un cheveu dans la soupe, mais cela incite également à vouloir découvrir la suite au plus vite.
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Tout comme le tome précédent j'ai beaucoup aimé celui-ci. L'histoire était vraiment bonne même si j'avoue avoir été déçu par Wonder Woman (j'espère que ça ira mieux avec la suite).
J'ai un peu peur par rapport a la fin puisque Green Lantern "démissionne".
Bref j'ai vraiment hâte de lire la suite !

"L'Odyssée du Mal" c'est la suite directe du précédant volume. On retrouve nos super-héros, les plus connus certainement dans le DC Universe. Et bien que ce ne soit pas très difficile étant donné le ton du premier tome, le présent opus approfondie nettement les relations inter-personnages. L'action est quelque peu atténuée pour favoriser le relationnel et ce n'est pas plus mal.

Ce qui m'a fait le plus plaisir, c'est de retrouver un Green Arrow plus intéressant que dans sa série solo. le personnage vient squatter quelque peu la ligue et ne fait pas une apparition aussi anecdotique qu'on aurait pu le croire de prime abord.

Une série qui vaut vraiment le coup. Les néophytes, dont je fais encore partie malgré mes nombreuses lectures, auront de quoi être satisfait. Présenté de la sorte, j'ai hâte que le cinéma nous offre un Justice League à la hauteur (mais bon, avec le cinéma hollywoodien faut toujours se méfier !).

Dans ce second tome, la ligue des justiciers doivent affronter un ennemi redoutable qui mettra leur amitié et leur relation vis à vis de la population à mal. En effet la tension est palpable entre les membres de la ligue.

Après avoir lu le premier tome que j'ai trouvé excellent (encore une fois, je le dis, je suis un amateur de comics novice), j'ai presque acheté celui ci, immédiatement le jour de sa sorti. Il est aussi gros que le premier et est presque aussi merveilleux. Pourquoi presque ? Et bien, parce que la ligue à perdu un peut de sa force que l'on pouvait voir dans le premier tome je trouve. Certains personnage son passer presque au second plan (Aquaman, Superman) et d'autre au premier alors qu'il sont moins intéressant d'un point de vue héroïque (Steve Trevor). L'odyssée du mal, ne regroupe que 5 chapitre sur les 6, l'un est consacré à Green Arrow - rien que pour sa on peut s'attendre à une suite intéressante.
Ensuite, les dessins ne sont plus tous assuré par Jim lee. Est-ce si grave ? Non ! Mais je trouve dommage qu'il n'est pas dessiné l'intégrale du tome. Après c'est l'occasion de découvrir d'autre excellent dessinateur et parmi eux Ivan Reis qui est un dessinateur de talent (futur Jim Lee sans doute).
Du point de vue du scénario, c'est un peut du déjà vue, mais parfaitement maîtrisé par Geoff Johns, donc c'est bien.

Donc je termine en disant que si vous êtes fan du premier tome, vous ne serez pas déçu par celui ci. J'attend la suite impatiemment et remercie Urban pour leur boulot d'édition génial, et qui rend DC Comics très accessible en France. :)

Et c'est reparti pour un tour.

Oui parce que je suis très en retard. Comprenez moi, le Prince charmant doit être au tome 8 ou 9 et c'est pas que j'ai autre chose à lire en matière de Comics mais quand même. Bref, sur cet opus, on se projette quelques temps après le premier. On a la Justice League qui se bat contre les super méchants. Mais voilà, Steve Trevor s'est un peu acoquiné avec Wonder Woman et ils sont en pleine rupture. Parce que en prime, Wonder Woman, elle zieute un peu un de ses collègues (en même temps, ils sont bien dans leur combinaisons.) Autre indice, c'est pas Cyborg hein....

Bref, Dans tout ce bordel émotionnel, on a Green Lantern (mais pourquoi il est là ?) qui s'incruste genre : Prenez moi siouplait ! Et les autres héros avancent des arguments complètement sérieux (ils ont déjà un équipier habillé en vert. Non vous ne rêvez pas, DC comics tente de faire de l'humour.



Et l'intrigue dans tout cela ?

J'avoue que j'ai eu du mal à m'y faire parce que l'humour ne correspondait absolument pas à l'idée que je me faisais d'un Justice League. Alors me souvenir que Darkseid allait être un super méchant, qu'il voulait détruire la Justice League et pour cela, utiliser les médias et autres joyeusetés du gouvernement... Vala. C'était un peu difficile mais heureusement, ils y arrivent (presque) bien. On sent que les relations entre les différents membres du groupe dégénèrent. Et cela m'inquiète un peu de voir tout ceci dès le deuxième tome.

Enfin, côté esthétique. C'est toujours aussi magnifique. C'est un régal des yeux pour chaque case, il faut l'avouer. J'adore le traitement par l'image, les dialogues sont plutôt bien tournés. Mise à part le fait que tout le monde se cherche un peu scénaristiquement (à moins qu'on ne voit plusieurs choses se dénouer à l'avenir), cela se lit parfaitement bien, je vous rassure :)
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(...) Comme avec le précédent tome, je me suis éclatée dans cette lecture. Il y a beaucoup d'action, des thèmes intéressants sont développés au fil du récit et beaucoup d'humour parsème l'ensemble. J'ai bien aimé l'alternance des points de vue entre la League, ARGUS et le méchant, qui apporte un réel plus à l'histoire. le personnage de Steve Trevor, en particulier, m'a bien plu. Je regrette par contre que certains membres de l'équipe restent encore en retrait, même si je suppose qu'on en apprendra davantage sur eux dans la suite.

La qualité des dessins est variable, ça va du sublime au passable pour certaines planches. Ce qui s'explique sans doute par la multiplication des dessinateurs ayant travaillé sur ces épisodes. On tire quand même plus vers l'excellence, heureusement.

Dans l'ensemble, une super lecture 🙂 J'ai très hâte de lire la suite!
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Voici donc un nouvel ennemi pour les plus grands héros de la planète, un malin qui va s'attaquer à leur principale faiblesse, à savoir l'humain en liaison avec eux, Steve Trevor. Une idée intéressante, plus encore quand elle consiste à confronter ces demi-dieux face aux conséquences de leurs actes. Aux dommages collatéraux, en somme. Bon, avec des esprits mauvais pour accompagner tout ça et un super-vilain, on est quand même dans LA série de super-slip. Mais le côté tragique du méchant reste appréciable.
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Ce tome est dans la lignée du précédent. L'histoire est intéressante et les graphismes toujours au top.