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Critique de JIEMDE


Have a break. Have a Longmire !

A chaque année son Craig Johnson, filon inépuisable de Gallmeister tellement son auteur est prolixe et tant mieux. Car même inégaux, les opus de cette série à succès sont une valeur refuge, une pause annuelle légère au coeur de lectures plus exigeantes.

Et donc, il est comment le cru de 2024, le Pays des loups traduit par Sophie Aslanides ?
Pas mal, pas mal du tout même.

Une histoire de loups, de bergers et de moutons ; de conflits comme on en trouve un peu partout dans le monde. Sauf que là, le loup concerné – 777M pour ses intimes – a aussi mangé au passage un bout de berger retrouvé pendu.

Une histoire d'abus aussi sur un petit garçon qui ne demandait rien d'autre qu'à pêcher la truite dans les rivières du comté d'Absaroka avec son grand-père, mais qui se retrouve tiraillé dans une famille déchirée.

Une histoire de modernité quand Vic et Ruby peinent à convaincre Walt des bienfaits de l'utilisation d'un ordinateur et des mails quand on est shérif au XXIe siècle, alors qu'il reste désespérément adepte des seuls post-it en guise de messages.

« Vous deux, vous êtes des mécréants qui sont prêts à mettre de l'ananas sur de la pizza. »

Une histoire moins alambiquée que d'habitude, au rythme plus lent et agréable à suivre. Convalescent mais néanmoins actif, Longmire fatigue et commence à penser à l'après. Sans être vraiment crédible, car il reste de l'imagination à son auteur…
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