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Critique de jmb33320
« Week-end en enfer » aurait pu être un titre valable pour ce roman policier, le septième de la série Walt Longmire. Il passera ces deux ou trois jours dans les Bighorn Mountains (qui culminent à plus de 4000 mètres). Il est à la poursuite d'un charismatique et dangereux psychopathe et de plusieurs autres gibiers de potence, qui ont réussi à fausser compagnie à des policiers fédéraux venus les transférer à Salt Lake City.
La météo est apocalyptique. Alors qu'au calendrier le printemps est là, l'hiver fait une nouvelle offensive. Blizzard, neige, froid extrême sont au programme. Walt, il faut le reconnaître particulièrement entêté, se lancera quasi seul à leur poursuite. Il sera plusieurs fois confronté à ses limites, échappant de peu à la mort.
Le suspense est haletant dans cette traque. Les références à l'Enfer de Dante sont surprenantes et servent de fil rouge (Walt a dans son sac à dos une édition de poche de ce poème). La frontière entre réalité et rêves est fluctuante, à mesure que l'état de santé de Walt décline. Il est aidé un mystérieux Indien, Virgile, qui semble avoir comme caractéristique d'apparaître et de disparaître sans cesse.
Je ne me suis pas ennuyé pendant cette lecture. Mais je trouve quand même que le talent de conteur de Craig Johnson trouve ici une limite. Un paysage quasi unique, même si de nombreuses surprises sont au programme, c'est un peu monotone. Walt a beau être une sacrée tête de mule, j'ai trouvé peu crédible qu'il s'entête autant… Ceci-dit, j'ai encore envie de continuer la lecture de cette série.
La météo est apocalyptique. Alors qu'au calendrier le printemps est là, l'hiver fait une nouvelle offensive. Blizzard, neige, froid extrême sont au programme. Walt, il faut le reconnaître particulièrement entêté, se lancera quasi seul à leur poursuite. Il sera plusieurs fois confronté à ses limites, échappant de peu à la mort.
Le suspense est haletant dans cette traque. Les références à l'Enfer de Dante sont surprenantes et servent de fil rouge (Walt a dans son sac à dos une édition de poche de ce poème). La frontière entre réalité et rêves est fluctuante, à mesure que l'état de santé de Walt décline. Il est aidé un mystérieux Indien, Virgile, qui semble avoir comme caractéristique d'apparaître et de disparaître sans cesse.
Je ne me suis pas ennuyé pendant cette lecture. Mais je trouve quand même que le talent de conteur de Craig Johnson trouve ici une limite. Un paysage quasi unique, même si de nombreuses surprises sont au programme, c'est un peu monotone. Walt a beau être une sacrée tête de mule, j'ai trouvé peu crédible qu'il s'entête autant… Ceci-dit, j'ai encore envie de continuer la lecture de cette série.
