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Critique de RosenDero
Un architecte est dépêché par le gouvernement pour construire un pont reliant les terres de l'Est au reste de l'Empire. Sur place, il dirigera les travaux et se rapprochera des populations locales, habituées à vivre avec la brume et ses mystérieux occupants.
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Pourtant bien parti, ce récit vite lu sera également vite oublié pour ma part.
Autant l'univers est riche, captivant et intéressant avec sa brume, son Empire, ses Géants, ses "poissons". Autant l'histoire de Kit / Kij my name m'a paru fade.
Certes la brume et tout l'univers sont bien décrits, l'ambiance est prenante, parfois stressante par l'inconnu dans lequel on s'embarque ; mais je ne vois pas l'intérêt de faire des récits semi oniriques où les personnages se révèlent meilleurs philosophes que héros et où ils partent la fleur au fusil et le coeur léger vers leur destinée. Phrase creuse qui résume bien l'esprit et le peu de corps de ces énergumènes. Ça m'a fait penser à la fin de Merfer, tiens.
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Je doutais des titres de cette collection, mais là la quatrième de couverture et la hype signée Ken Liu (je vous ai dit qu'un perso s'appelait Liu ? Retour de paluche en règle ?) où il dit qu'on a affaire à un recit "qui plane très haut, à mi-chemin entre science-fiction et fantasy" je dis stop.
Franchement ça casse pas 3 pattes à un géant, ni à un poisson. Même un moyennement gros.
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Pourtant bien parti, ce récit vite lu sera également vite oublié pour ma part.
Autant l'univers est riche, captivant et intéressant avec sa brume, son Empire, ses Géants, ses "poissons". Autant l'histoire de Kit / Kij my name m'a paru fade.
Certes la brume et tout l'univers sont bien décrits, l'ambiance est prenante, parfois stressante par l'inconnu dans lequel on s'embarque ; mais je ne vois pas l'intérêt de faire des récits semi oniriques où les personnages se révèlent meilleurs philosophes que héros et où ils partent la fleur au fusil et le coeur léger vers leur destinée. Phrase creuse qui résume bien l'esprit et le peu de corps de ces énergumènes. Ça m'a fait penser à la fin de Merfer, tiens.
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Je doutais des titres de cette collection, mais là la quatrième de couverture et la hype signée Ken Liu (je vous ai dit qu'un perso s'appelait Liu ? Retour de paluche en règle ?) où il dit qu'on a affaire à un recit "qui plane très haut, à mi-chemin entre science-fiction et fantasy" je dis stop.
Franchement ça casse pas 3 pattes à un géant, ni à un poisson. Même un moyennement gros.
