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Critique de MilleCab
C'était une lecture rapide, bouclée en une soirée, plutôt décevante.
Hulda, 64 ans, est brutalement éjectée du commissariat où elle travaille, à quelques mois à peine de sa retraite, parce qu'un jeune et prometteur policier a été embauché pour la remplacer.
Ce coup-bas de son supérieur est étonnant de cruauté et d'égoïsme, quand on considère que Hulda a travaillé pour lui durant toute sa longue carrière, et a fait du bon travail, quoique toujours solitaire. Déchue de toutes ses affaires en cours, elle se voit tout de même proposée de feuilleter les enquêtes non résolues en salle des archives pour passer le temps jusqu'à l'arrivée du nouvel élément.
Aucun des personnages n'est attachant, intéressant ou agréable, absolument aucun, pas même le personnage principal. Un sentiment permanent d'injustice accompagne toute la lecture, d'agressivité, et d'animosité. Hulda a clairement un problème de communication, que ce soit avec ses collègues ou n'importe quelle personne qu'elle rencontre.
On suit davantage l'histoire personnelle de Hulda que son enquête pour résoudre le meurtre de la jeune femme russe, pour laquelle l'inspectrice enchaîne les erreurs, pressée par le temps (faible justification pour son manque de professionnalisme intersidéral).
La fin est surprenante, sans doute un peu frustrante, mais dans la lignée de l'intrigue, et sans doute la meilleure fin possible pour Hulda après ses derniers jours calamiteux de travail au sein de la police.
Pas d'originalité ni d'attrait dans ce roman vaguement policier...
Hulda, 64 ans, est brutalement éjectée du commissariat où elle travaille, à quelques mois à peine de sa retraite, parce qu'un jeune et prometteur policier a été embauché pour la remplacer.
Ce coup-bas de son supérieur est étonnant de cruauté et d'égoïsme, quand on considère que Hulda a travaillé pour lui durant toute sa longue carrière, et a fait du bon travail, quoique toujours solitaire. Déchue de toutes ses affaires en cours, elle se voit tout de même proposée de feuilleter les enquêtes non résolues en salle des archives pour passer le temps jusqu'à l'arrivée du nouvel élément.
Aucun des personnages n'est attachant, intéressant ou agréable, absolument aucun, pas même le personnage principal. Un sentiment permanent d'injustice accompagne toute la lecture, d'agressivité, et d'animosité. Hulda a clairement un problème de communication, que ce soit avec ses collègues ou n'importe quelle personne qu'elle rencontre.
On suit davantage l'histoire personnelle de Hulda que son enquête pour résoudre le meurtre de la jeune femme russe, pour laquelle l'inspectrice enchaîne les erreurs, pressée par le temps (faible justification pour son manque de professionnalisme intersidéral).
La fin est surprenante, sans doute un peu frustrante, mais dans la lignée de l'intrigue, et sans doute la meilleure fin possible pour Hulda après ses derniers jours calamiteux de travail au sein de la police.
Pas d'originalité ni d'attrait dans ce roman vaguement policier...
