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Critique de Marti94
La toute jeune Brigitte Bardot a immortalisé avec beaucoup de talent "La mariée est trop belle" dans le film de Pierre Gaspard-Huit adapté du roman d'Odette Joyeux publié en 1954.
En résumé, la narratrice est une jeune fille ingénue qui raconte son ascension sociale en devenant cover-girl par hasard pour un magazine féminin à gros tirage. C'est Judith et son amant Michel qui ont fondé L'amour de vivre.
La jeune Catherine va être rebaptisée Chouchou et former un couple avec Patrice pour les besoins de la revue. Ils sont toujours accompagnés de Toni, le photographe armé de son Rolleiflex.
Pourtant, lorsqu'il faut simuler un mariage idéal Fabrice n'est pas là et c'est Michel troublé qui va devoir le remplacer.
Sans raconter l'histoire, on comprend vite que sous les faux-semblants médiatiques Catherine va découvrir les véritables sentiments amoureux qui l'animent.
Une fois n'est pas coutume, j'ai préféré le film au roman que j'ai lu après l'avoir vu, essentiellement pour deux raisons.
Dans le film la fabrication du magazine est détaillée avec l'avancement du story-board où le choix des photos et de la mise en page. Tous ces aspects techniques sont très intéressants mais ne sont pas dans le livre.
Par ailleurs, le roman est plus long avec de nouveaux rebondissements par rapport au film qui exclut les derniers chapitres, à juste titre.
J'ai été sensible à cette histoire même si je n'ai pas tout apprécié. Catherine est un personnage très attachant malgré sa grande naïveté ou peut-être pour cela. Pour autant, on retrouve chez les hommes des propos machistes qui devaient être courant dans les années 50.
Heureusement, l'attirail publicitaire pour créer l'illusion du mariage idéal qui fait rêver les lectrices est décrit avec une pointe d'humour et le ton de ce roman est souvent joyeux comme le nom de son autrice.
En résumé, la narratrice est une jeune fille ingénue qui raconte son ascension sociale en devenant cover-girl par hasard pour un magazine féminin à gros tirage. C'est Judith et son amant Michel qui ont fondé L'amour de vivre.
La jeune Catherine va être rebaptisée Chouchou et former un couple avec Patrice pour les besoins de la revue. Ils sont toujours accompagnés de Toni, le photographe armé de son Rolleiflex.
Pourtant, lorsqu'il faut simuler un mariage idéal Fabrice n'est pas là et c'est Michel troublé qui va devoir le remplacer.
Sans raconter l'histoire, on comprend vite que sous les faux-semblants médiatiques Catherine va découvrir les véritables sentiments amoureux qui l'animent.
Une fois n'est pas coutume, j'ai préféré le film au roman que j'ai lu après l'avoir vu, essentiellement pour deux raisons.
Dans le film la fabrication du magazine est détaillée avec l'avancement du story-board où le choix des photos et de la mise en page. Tous ces aspects techniques sont très intéressants mais ne sont pas dans le livre.
Par ailleurs, le roman est plus long avec de nouveaux rebondissements par rapport au film qui exclut les derniers chapitres, à juste titre.
J'ai été sensible à cette histoire même si je n'ai pas tout apprécié. Catherine est un personnage très attachant malgré sa grande naïveté ou peut-être pour cela. Pour autant, on retrouve chez les hommes des propos machistes qui devaient être courant dans les années 50.
Heureusement, l'attirail publicitaire pour créer l'illusion du mariage idéal qui fait rêver les lectrices est décrit avec une pointe d'humour et le ton de ce roman est souvent joyeux comme le nom de son autrice.
