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Critique de Mondaye
Une série lue dans mes années lycée, donc il y a environ trois ans.
Elle est la preuve que les gouts changent.
Si à l'époque le côté triangle amoureux et la romance à la présence envahissante ne m'avaient pas dérangée, c'est sans regret que je m'en suis débarrassé l'an dernier, certaine que je serais incapable de la relire sans grincer des dents.
Sinon il y a quelques aspects sympathiques qui me reste en mémoire dont es répliques qui ont su me faire sourire, et une intrigue qui si elle ne brille pas par une originalité exceptionnelle, tient la route.
Bref une lecture très jeunesse, et dans un courant dont elle porte les défauts et la marque de fabrique, mais qui se laisse lire.
Dans ce premier tome nous lions connaissance avec Meghan notre héroïne (que d'ailleurs je renomme régulièrement dans ma tête Morganne, sans doute par overdose de légende arthurienne), ses compagnons dans les tomes à venir et l'univers dans lequel elle va évoluer.
Niveau compagnon on a le droit à l'éternel prince ténébreux hanté par un passé terrible très froid mais qui évidement tombe amoureux de l'héroïne, et à l'ami d'enfance qui est en fait le super protecteur féérique (Puck de Midsummer Nigth Dream) qui est lui amoureux depuis longtemps, et possède un caractère enjoué et taquin.
Niveau univers on a des fées résolument moderne, dans notre monde, et qui s'habille de tradition dans le leur, avec un clivage été/hiver ou s'invite une troisième force mystère.
Les enjeux sont lancés pour les trois tomes à venir, le quatrième étant à part.
Donc enjeux: notre chère Meghan (et non Morganne) découvre que son petit frère a été enlevé par des fées, qu'elle est elle même la batarde du roi de l'été Obéron, et décide de faire une magistrale bêtise en fonçant tête baissé dans le piège: elle part dans le monde féérique.
Pour l'accompagner son ami d'enfance Robby Goodfell alias Robin Goodfellow alias Puck.
Globalement de l'autre côté tout ne se passe pas si bien entre un paternel distant, une belle mère jalouse et une reine de l'hiver sur le pied de guerre qui a le défaut d'avoir un fils magnifique et attirant.
Et dans l'ombre une troisième force s'agite, qui ne se revendique ni de l'été ni de l'hiver et semble avoir un dessein très spécial pour Meghan.
Voilà pour le tableau global caché sous le résumé, à vous de choisir.
Elle est la preuve que les gouts changent.
Si à l'époque le côté triangle amoureux et la romance à la présence envahissante ne m'avaient pas dérangée, c'est sans regret que je m'en suis débarrassé l'an dernier, certaine que je serais incapable de la relire sans grincer des dents.
Sinon il y a quelques aspects sympathiques qui me reste en mémoire dont es répliques qui ont su me faire sourire, et une intrigue qui si elle ne brille pas par une originalité exceptionnelle, tient la route.
Bref une lecture très jeunesse, et dans un courant dont elle porte les défauts et la marque de fabrique, mais qui se laisse lire.
Dans ce premier tome nous lions connaissance avec Meghan notre héroïne (que d'ailleurs je renomme régulièrement dans ma tête Morganne, sans doute par overdose de légende arthurienne), ses compagnons dans les tomes à venir et l'univers dans lequel elle va évoluer.
Niveau compagnon on a le droit à l'éternel prince ténébreux hanté par un passé terrible très froid mais qui évidement tombe amoureux de l'héroïne, et à l'ami d'enfance qui est en fait le super protecteur féérique (Puck de Midsummer Nigth Dream) qui est lui amoureux depuis longtemps, et possède un caractère enjoué et taquin.
Niveau univers on a des fées résolument moderne, dans notre monde, et qui s'habille de tradition dans le leur, avec un clivage été/hiver ou s'invite une troisième force mystère.
Les enjeux sont lancés pour les trois tomes à venir, le quatrième étant à part.
Donc enjeux: notre chère Meghan (et non Morganne) découvre que son petit frère a été enlevé par des fées, qu'elle est elle même la batarde du roi de l'été Obéron, et décide de faire une magistrale bêtise en fonçant tête baissé dans le piège: elle part dans le monde féérique.
Pour l'accompagner son ami d'enfance Robby Goodfell alias Robin Goodfellow alias Puck.
Globalement de l'autre côté tout ne se passe pas si bien entre un paternel distant, une belle mère jalouse et une reine de l'hiver sur le pied de guerre qui a le défaut d'avoir un fils magnifique et attirant.
Et dans l'ombre une troisième force s'agite, qui ne se revendique ni de l'été ni de l'hiver et semble avoir un dessein très spécial pour Meghan.
Voilà pour le tableau global caché sous le résumé, à vous de choisir.
