La team Batista

Si on devait abandonner le bistouri à la suite de la mort d’un patient, il n’y aurait plus un seul chirurgien dans ce monde.

Lundi 4 février
La vue depuis le bureau du directeur de l'hôpital me fascine.
C'est dans pareil moment que je me rends compte à quel point travailler dans un centre hospitalier universitaire n'est pas pour moi. La preuve : mon esprit s'évade déjà par la fenêtre. En tout cas, un sous-fifre dans mon genre n'a guère l'occasion d'être convoqué directement par le grand patron. Cette opportunité de constater mon inadaptation est peut-être une chance...