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Critique de IreneAdler


Yukié Tanako a leu feu dans les veines ; elle est d'une sensualité débridée. Et en ces austères années 1930, cela est plus que mal vu. de scandales en mise au banc, elle cherchera l'amour, mais se perdra dans la chair (sans jamais se vendre) Elle gardera toujours la maîtrise de sa vie.
Que j'aime les femmes de Kamimura ! Elles sont toujours belles, de cette beauté qui n'est accordée qu'aux déesses, semblent vouées à un destin inférieur et s'en sortent toujours (même si c'set beaucoup grâce à leurs corps, Bon ça c'est limite) Bref, en dehors de ses héroïnes, il a un trait de pinceau incroyable pour créer avec peu (semble-t-il) un univers poétique, un écrin pour ses personnages. Ils s'y fondent, y disparaissent parfois. Noyés peut-être dans l'encre de Chine qui les a vu naître.
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