Critique de la faculté de juger

Sans sentiment moral, il n'y aurait rien  pour créer du beau et du sublime. le beau n'existe que pour nous, les humains. Kant distingue la faculté de connaître et de désirer, le sentiment humain de plaisir et de peine. Il place, entre l'entendement et la raison," la faculté de juger" dont le principe est la finalité et dont l'application engendre l'art. Cet essai nous apprend beaucoup sur la vie, notre jugement.