J’ai mon stylo, moi, ça me suffit.
Pourtant, je n’ai pas écrit à blanc, les mots sifflent.
Qui aurait parié que l’encre distribuerait des gifles ?
Peut-être qu’on me dira que je me contente de peu, mais le peu c’est déjà beaucoup.
J’ai deux visages dans ma vie, je ne m’en cache pas. L’un sourit, l’autre maudit. Aucun ne m’est seul, mais aucun, je ne renie. Ils sont moi dans mon entièreté, j’aime cette imprévisibilité...