Un vrai plaisir de se replonger dans l'univers
De Balzac. le livre est construit en triptyque avec en première partie les lieux, ensuite l'argent, et pour finir les personnages. Il faut aimer
Balzac, car le livre est riche d'extraits. Je salue le travail de l'auteur pour ce travail de fourmi, particulièrement sur le sujet de la finance, dont j'imagine que son expertise l'a probablement aidée. J'ai particulièrement apprécié la dernière partie sur la société, et à travers elle, les personnages, car c'est ce qui m'intéresse chez
Balzac. le meilleur étant, dit-on, pour la fin, j'ai trouvé intéressant de consacrer une partie sur le féminisme
De Balzac, et
Alexis Karklins-Marchay, en citant
Eugénie Grandet, qui est le deuxième roman que j'ai lu
De Balzac après
La peau de chagrin, m'a permis de me remémorer les prémices de ma formation littéraire. On apprend beaucoup de choses, avec des éclairages contextuels, des détails biographiques. Cependant malgré sa richesse, l'auteur explique que cette étude est loin d'être exhaustive. Pour connaître
Balzac il faut avant tout lire son oeuvre et
Alexis Karklins-Marchay donne des conseils en ce sens à la fin de cette étude. Merci à Babelio et aux éditions Ellipses pour l'envoi de ce livre sur lequel je reviendrai sans doute au gré de mes lectures de la Comédie Humaine dont je suis loin d'avoir exploré toutes les facettes.
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