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Critique de Sio
Voilà un diptyque qui démarre bien ! On y retrouve la gouaille habituelle de Gabriel Katz, qui atteint un beau niveau de croisière dans les dialogues opposant Leth Marek, le gladiateur, à Desmeon, le mercenaire : réparties savoureuses garanties. Ses personnages sont vraiment intéressants, car très nuancés, remettant en cause ce qu'on leur dit, leurs préjugés et croyances.
Et c'est ce qui fait tout le sel du roman, puisqu'il y est question de guerre de religion. le thème est intelligemment traité : l'intrigue montre habilement combien ces petites querelles sont improductives et ineptes !
Mais il y a tout de même un point un peu plus négatif : l'univers semble nettement moins complexe que précédemment et c'est un peu dommage (bien que ça n'enlève rien à la qualité de l'ensemble).
Malgré tout, Gabriel Katz mène l'intrigue avec la verve et la science du cliffhanger qu'on lui connaît. Tant et si bien que la fin nous laisse sur des charbons ardents !
Lien : https://encresetcalames.word..
Et c'est ce qui fait tout le sel du roman, puisqu'il y est question de guerre de religion. le thème est intelligemment traité : l'intrigue montre habilement combien ces petites querelles sont improductives et ineptes !
Mais il y a tout de même un point un peu plus négatif : l'univers semble nettement moins complexe que précédemment et c'est un peu dommage (bien que ça n'enlève rien à la qualité de l'ensemble).
Malgré tout, Gabriel Katz mène l'intrigue avec la verve et la science du cliffhanger qu'on lui connaît. Tant et si bien que la fin nous laisse sur des charbons ardents !
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