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Critique de 1967fleurs


C'est avec la femme du Vème que je découvre Douglas Kennedy ; écrivain qui m'avait été recommandé par Dgwickert, ami Babelio.

C'est un livre assez important 380 pages que j'ai lues rapidement, au rythme de l'écriture de l'auteur ; Une première partie lente où les personnages principaux s'installent progressivement et l'histoire se dessine. Puis une autre où tous les protagonistes sont en place, et là c'est plus animé, le décor est planté.

Harry Ricks est professeur d'université aux Etats Unis où il enseigne le cinéma, sa passion. Il vit un scandale amoureux. Il perd tout, l'amour de sa femme et de sa fille. Il prend la fuite et va traverser l'Atlantique pour se retrouver à Paris. Il s'installe avec ses dernières économies dans un quartier peu recommandé dans une chambre de bonne. Il écume les salles de cinéma, il est seul et déprimé.

Puis au cours d'une soirée, il va rencontrer une jolie femme, qui lui propose de le revoir mais à ses conditions particulières et exclusives. Margit est mystérieuse et ne se révèle pas facilement.

Tout bascule dans cet équilibre fragile, lorsque Harry Ricks va être mêlé malgré lui à des affaires criminelles. Sa vie se complique, c'est la descente aux enfers. Comme j'aime le dire Harry c'est pépin et ses copains ! Il lui va se retrouver dans imbroglio d'ennuis, de multiples soucis auxquelsil va devoir faire face, mais je ne vous en dirai pas plus. Cette lecture me fait penser aux Dieux Voyagent incognito de Gounelle…

J'ai été bien captée par cette histoire, je ne peux faire de comparaison avec un autre titre, alors je vais poursuivre avec cet auteur car je n'ai pas été déçue. Un livre qui se lit bien et facilement, un bon moment de détente.
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