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Critique de lagier
Que ce roman est long et ennuyeux ! J'ai trouvé le début assez captivant, la rencontre entre les deux journalistes sur le terrain, les premiers baisers. Puis à partir du moment où ils reviennent à Londres, il y a un passage de 300 pages interminables. La pauvre Sally ne comprend pas d'entrée de jeu qu'elle à affaire à un homme qui se révèle en fait être un vrai goujat. Et durant toutes ces interminables pages, Douglas Kennedy nous décrit sa dépression post-partum, en délayant ses propos. Jusqu'à ce que l'histoire reprenne un peu d'intérêt lorsque le procès débute. Et bien sûr, on ne se doute vraiment pas de la fin (plaisanterie : car tout est cousu de fil blanc). Bref, j'ai fait ce que je fais rarement, j'ai lu en diagonal les 300 pages du milieu, et il m'a semblé n'avoir absolument rien raté pour comprendre la fin. de plus, j'ai lu une version poche et je ne sais pas si c'est également le cas en version "grand format", mais le texte n'est pas aéré, ce qui rend la lecture un peu désagréable, car on passe d'une situation à une autre, sans espace ou saut à la ligne. Ce roman est un mauvais moment dont on peut se passer ! Il ressemble à un film de 2H30, où 45mns sont de trop.
