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Critique de verobleue
« Une relation dangereuse » de Douglas Kennedy est le deuxième livre que je lis de cet auteur. Ce livre aurait pu s'intituler « Découvrez toutes les difficultés qu'une maman peut avoir après la naissance d'un bébé ! » à cause de la méticuleuse description de la dépression postnatale de la jeune maman.
Tout commence par une histoire d'amour. Deux correspondants de presse internationaux, Tony, britannique et Sally, américaine se rencontrent dans un pays africain miné par la guerre. Une relation commence et prend corps avec la grossesse de Sally. Ils décident de changer de vie et reprennent un job plus calme dans la capitale britannique. le travail à responsabilités de Tony s'accompagne de la rédaction d'un livre. Il est souvent absent. Sally vit une grossesse difficile, une maison en chantier, un manque de contacts sociaux, sans parler du temps pluvieux.....
Même si elle parle la même langue, Sally est une expatriée isolée, qui a des difficultés pour faire accepter son comportement direct « made in America », avec les règles, les coutumes sooo british où les usages sociaux sont en total décalage avec ses habitudes.
L'histoire est entièrement centrée autour de Sally, de sa relation de couple, de sa dépression post-natale, racontée de façon réaliste, racontée de l'intérieur, selon sa perception personnelle. le lecteur la vit en même temps, découvre les zones d'ombre, les non-dits, la trahison, sans vraiment comprendre le pourquoi... Explications qui viendront lorsqu'on apprend la demande de garde exclusive du père.
Je l'ai lu d'une traite parce que je voulais savoir comment Sally arriverait à défendre ses droits malgré tous les évènements en sa défaveur et parce que l'auteur donne réellement un côté antipathique au personnage de la maman et lui fait subir pas mal de tourments.
Un roman noir psychologique que j'ai beaucoup apprécié.
Tout commence par une histoire d'amour. Deux correspondants de presse internationaux, Tony, britannique et Sally, américaine se rencontrent dans un pays africain miné par la guerre. Une relation commence et prend corps avec la grossesse de Sally. Ils décident de changer de vie et reprennent un job plus calme dans la capitale britannique. le travail à responsabilités de Tony s'accompagne de la rédaction d'un livre. Il est souvent absent. Sally vit une grossesse difficile, une maison en chantier, un manque de contacts sociaux, sans parler du temps pluvieux.....
Même si elle parle la même langue, Sally est une expatriée isolée, qui a des difficultés pour faire accepter son comportement direct « made in America », avec les règles, les coutumes sooo british où les usages sociaux sont en total décalage avec ses habitudes.
L'histoire est entièrement centrée autour de Sally, de sa relation de couple, de sa dépression post-natale, racontée de façon réaliste, racontée de l'intérieur, selon sa perception personnelle. le lecteur la vit en même temps, découvre les zones d'ombre, les non-dits, la trahison, sans vraiment comprendre le pourquoi... Explications qui viendront lorsqu'on apprend la demande de garde exclusive du père.
Je l'ai lu d'une traite parce que je voulais savoir comment Sally arriverait à défendre ses droits malgré tous les évènements en sa défaveur et parce que l'auteur donne réellement un côté antipathique au personnage de la maman et lui fait subir pas mal de tourments.
Un roman noir psychologique que j'ai beaucoup apprécié.
