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Critique de nanonoel
J'aimerais dire que ce récit de Jérôme Patalano est un préquel avant une histoire plus fouillée et approfondie car l'univers m'a vraiment beaucoup plu. D'ailleurs, la 4ème de couverture suggère qu'il pourrait y avoir des suites et c'est une bonne nouvelle.
J'avais déjà lu la première version dans le recueil "Un Homme pour Samhain" et autant dire qu'avec ma mémoire de poisson rouge, je ne me rappelais de rien. Juste qu'il me semblait avoir aimé mais avoir regretté le format court. Ici aussi, je trouve que c'est trop court malgré des ajouts (que je ne saurais déterminer !) mais c'est sans doute parce que j'ai adoré me retrouver au Louvre (je rappelle que j'ai fait des études d'Art) et sentir la pression monter au fur et à mesure que l'exposition approchait. Une tension due à la fois au stress de l'équipe du musée et au côté surnaturel qui est amené de façon progressive, jusqu'au bouquet final. J'ai trouvé que les éléments se mettaient en place naturellement et que l'Histoire se mêlait habilement à la magie, les croyances d'un autre temps au monde contemporain, tout tournant autour de la réapparition d'un djin maléfique.
Un univers intéressant, porté par une plume dynamique. Il y a certes un petit côté spicy (mais de mon avis assez soft, donc il ne devrait pas déranger les allergiques à ce type de scène) mais ce n'est pas le coeur du récit. J'y ai trouvé un scénario intéressant, émaillé de scènes carrément bien trouvées dont une qui m'a enchantée (mais je n'en dirai pas plus...)
Je dirais que, malgré l'impression de rester sur ma faim et le fait que j'aurais adoré avoir un roman beaucoup plus consistant en terme de pages afin que les événements puissent s'enchaîner plus lentement, ce récit reste une bonne découverte qui permet de montrer ce que cet auteur (et sa complice) ont dans le ventre. A coup sûr, une imagination propice à d'autres histoires..
J'avais déjà lu la première version dans le recueil "Un Homme pour Samhain" et autant dire qu'avec ma mémoire de poisson rouge, je ne me rappelais de rien. Juste qu'il me semblait avoir aimé mais avoir regretté le format court. Ici aussi, je trouve que c'est trop court malgré des ajouts (que je ne saurais déterminer !) mais c'est sans doute parce que j'ai adoré me retrouver au Louvre (je rappelle que j'ai fait des études d'Art) et sentir la pression monter au fur et à mesure que l'exposition approchait. Une tension due à la fois au stress de l'équipe du musée et au côté surnaturel qui est amené de façon progressive, jusqu'au bouquet final. J'ai trouvé que les éléments se mettaient en place naturellement et que l'Histoire se mêlait habilement à la magie, les croyances d'un autre temps au monde contemporain, tout tournant autour de la réapparition d'un djin maléfique.
Un univers intéressant, porté par une plume dynamique. Il y a certes un petit côté spicy (mais de mon avis assez soft, donc il ne devrait pas déranger les allergiques à ce type de scène) mais ce n'est pas le coeur du récit. J'y ai trouvé un scénario intéressant, émaillé de scènes carrément bien trouvées dont une qui m'a enchantée (mais je n'en dirai pas plus...)
Je dirais que, malgré l'impression de rester sur ma faim et le fait que j'aurais adoré avoir un roman beaucoup plus consistant en terme de pages afin que les événements puissent s'enchaîner plus lentement, ce récit reste une bonne découverte qui permet de montrer ce que cet auteur (et sa complice) ont dans le ventre. A coup sûr, une imagination propice à d'autres histoires..
