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Critique de TheAutumnCarnival
Dans Anaïs s'en va-t-en guerre, l'auteure, Anaïs Kerhoas, retrace son parcours de son enfance à Saint-Malo jusqu'à son installation et ses premières années dans la culture de plantes biologiques et la confection de tisanes. le parcours très riche d'une jeune femme courageuse et déterminée qui m'avait déjà éblouie dans le documentaire qui lui est consacré. Un coup de coeur absolu pour ce livre et surtout pour Anaïs, ce modèle de persévérance.
Quel parcours et quelle ténacité ! Anaïs Kerhoas se confie au lecteur dans ce livre, elle lui parle de son enfance pas toujours rose mais dardée de moments lumineux, elle nous parle de ses années d'études et de son voyage en Inde, une vraie révélation dans les aspects positifs comme négatifs. Elle vient à nous parler de son rapport à la féminité et, disséminé un peu partout dans le livre, ce que c'est qu'être une femme, jeune et non issue du milieu qui plus est, dans le monde agricole. Mais ce qui traverse surtout le récit c'est son rapport à la terre, depuis sa jeunesse, avec ses grands-parents ou encore dans le jardin de son père jusqu'à la sienne de terre. Son récit est rempli de parfums, de sensations, de couleurs, de sa perception de la nature qui l'entoure. Anaïs observe, écoute et elle constate aussi de très près les impacts directs du dérèglement climatique. C'est très touchant la façon dont elle nous embarque à ses côtés et très immersif, elle transmet merveilleusement la passion qui l'anime pour ce métier.
Mais pour vivre et s'établir dans ce métier de la culture des plantes, c'est le parcours du combattant côté administratif. La paperasse, la chape de plomb de son quotidien, en opposition à l'épanouissement que lui procure le travail de la terre.
Je remercie @babelio_ et les @editionsdesequateurs pour cette lecture qui m'a fait redécouvrir Anaïs, cette jeune femme authentique qui m'avait marquée dans le documentaire qui porte le même nom que le livre. Elle a choisi de vivre sa vie au lieu de la subir, comme on peut le lire, et c'est vrai qu'elle a eu du cran en s'installant seule, sa liberté elle l'a durement gagnée. Cette lecture m'a beaucoup plu et le parcours d'Anaïs fait réfléchir sur bien des aspects de nos vies.
Quel parcours et quelle ténacité ! Anaïs Kerhoas se confie au lecteur dans ce livre, elle lui parle de son enfance pas toujours rose mais dardée de moments lumineux, elle nous parle de ses années d'études et de son voyage en Inde, une vraie révélation dans les aspects positifs comme négatifs. Elle vient à nous parler de son rapport à la féminité et, disséminé un peu partout dans le livre, ce que c'est qu'être une femme, jeune et non issue du milieu qui plus est, dans le monde agricole. Mais ce qui traverse surtout le récit c'est son rapport à la terre, depuis sa jeunesse, avec ses grands-parents ou encore dans le jardin de son père jusqu'à la sienne de terre. Son récit est rempli de parfums, de sensations, de couleurs, de sa perception de la nature qui l'entoure. Anaïs observe, écoute et elle constate aussi de très près les impacts directs du dérèglement climatique. C'est très touchant la façon dont elle nous embarque à ses côtés et très immersif, elle transmet merveilleusement la passion qui l'anime pour ce métier.
Mais pour vivre et s'établir dans ce métier de la culture des plantes, c'est le parcours du combattant côté administratif. La paperasse, la chape de plomb de son quotidien, en opposition à l'épanouissement que lui procure le travail de la terre.
Je remercie @babelio_ et les @editionsdesequateurs pour cette lecture qui m'a fait redécouvrir Anaïs, cette jeune femme authentique qui m'avait marquée dans le documentaire qui porte le même nom que le livre. Elle a choisi de vivre sa vie au lieu de la subir, comme on peut le lire, et c'est vrai qu'elle a eu du cran en s'installant seule, sa liberté elle l'a durement gagnée. Cette lecture m'a beaucoup plu et le parcours d'Anaïs fait réfléchir sur bien des aspects de nos vies.
