Retrouvailles d'un « mononcle des États »… un rendez-vous manqué.
À partir de la fin du 19e siècle, ce sont des centaines de milliers de Canadiens-français qui ont pris les chemin du sud, pour trouver un emploi dans les manufactures ou les mines américaines ou même à la recherche de l'or du Colorado. Bien des familles québécoises ont donc une légende de l'oncle ou du cousin émigré aux États-Unis.
Même s'il n'est pas vraiment de ma parenté, la rencontre de
Jack Kerouac se voulait prometteuse. Malheureusement, même si le parfum de liberté qu'il dégage est attirant, les relents d'alcool et les multiples rapines m'ont totalement rebuté. Pour dire autrement, son « haleine de fond de tonne », son discours répétitif sur ses « brosses » et ses « blondes », les radotages de mononcle ne m'ont pas convaincue.
J'aime beaucoup prendre la route, mais pas seulement de bar en bordel.
Désolée, je n'ai pas embarqué avec Jack.
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